• La saison des collants est lancée. Pour habiller nos jambes cet hiver, on mise sur du motif fantaisie, mais pas n'importe lequel. Voici 3 modèles de collants fantaisie qu'on ne va pas quitter jusqu'au printemps.

    Collants noirs à paillettes : le modèle festif de l'hiver
    L'ère du disco n'est pas révolue, à en croire les tendances mode de l'hiver. Sur des petites robes à sequins, des jupes et des shorts, les paillettes s'accumulent. Côté collants fantaisie, c'est pareil. Une façon de twister sa paire de bas noirs classiques. Et avec eux, inutile de mettre au point une tenue de soirée trop élaborée. Il suffira simplement d'un total look noir pour briller.
    Les collants fantaisie sont de sortie. Avec une petite robe noire en soirée ou une robe-pull en journée, ils relèvent le niveau des looks d'hiver. Cette saison, on mise sur trois déclinaisons de collants à motifs qui seront de véritables valeurs sûres jusqu'à l'arrivée des beaux jours.

    Collants fantaisie motif coeurs : le modèle régressif de la saison
    Le premier sur la liste s'habille du symbole de l'amour. Régressif à souhait, le collant coeurs est la parfaite touche pour dédramatiser un look trop strict. Après avoir envahi les rayons bijoux et sacs à main, le coeur s'attaque aux collants fantaisie, pour notre plus grand plaisir.

     

     

    Collants à motif gros pois : le modèle classique revisité
    Les collants imprimés pois sont loin d'être une nouveauté. On les porte depuis toujours, ou presque. Mais cette saison, les petits pois classiques prennent de l'ampleur pour un effet XXL bien plus affirmé. On les imagine portés avec une mini jupe en cuir et des boots motardes ou avec une slip dress noire pour un look de soirée d'hiver.

    Pour se procurer une paire de collants fantaisie, on fonce vers les collections de marques spécialisées. Collants fantaisie Calzedonia, Wolford ou Etam : vous trouverez des centaines d'imprimés. Vous pouvez aussi trouver un collant pas cher chez H&M ou Asos.

    Et enfin, l'option luxe est également à envisager pour celles qui souhaiteraient succomber à la tendance du logo sur les collants. Les maisons Chanel, Gucci ou encore Saint Laurent ont toutes imaginé leur version du collant imprimé fantaisie.

    Pour aller encore plus loin dans l'inspiration mode de l'hiver, faites un tour sur notre sélection de shorts à porter avec des collants fantaisie ou non.

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  • Habillement : Plus de 100 millions de paires jetées chaque année, mais pourquoi les collants sont-ils aussi fragiles ?

    ATTENTION, FRAGILE Pour paraphraser Cookie Dingler, « ne le laisse pas filer, il est si fragile, être un collant longue durée, tu sais, c’est pas si facile »

    Selon une étude de l’association HOP, 40 % des collants ne tiennent pas plus de trois utilisations avant de filer.
    Conséquence de cette fragilité, 104 millions de paires finissent chaque année à la poubelle en France.
    Mais pourquoi filent-ils aussi facilement ?
    En quatre ans de collaboration avec notre collègue Manon, les sujets d’actualités lourds n’ont jamais manqué : les « gilets jaunes », le coronavirus, la guerre en Ukraine… Forte de cette confiance dans la capacité de l’autre à traiter les problématiques de notre époque, et un peu centrée sur ses soucis du quotidien, elle nous a pris entre quatre yeux pour nous commander un sujet cher à son cœur « Tu devrais parler de la fragilité des collants, les miens filent tout le temps ».

    « Les siens », ou plutôt ceux de tout le monde. Car toute porteuse de collant vous le dira : enfiler un bas, c’est jouer à la roulette russe avec sept balles dans le barillet. Dans le classement des choses les plus fragiles au monde, on placerait facilement le collant dans le top 10, quelque part entre la cheville de Yoann Gourcuff et une chanson de Vianney. Et si mettre un collant sans le casser relève du numéro d’équilibriste, réussir à enfiler le même une dizaine de fois tient de l’exception statistique. Une enquête de l’association HOP (Halte à l’obsolescence programmée), sortie en 2018, indiquait ainsi que dans 40 % des cas *, le collant ne dépassait pas les trois utilisations. Seulement 28 % des bas dépassaient six usages.

    Un problème loin de ne concerner que le bas de gamme. Toujours selon cette étude, « aucune des marques, quel que soit leur positionnement prix, ne dépasse la note de durabilité de 3 sur 5 ». En 2013, 60 millions de consommateurs publiait un test d’usure pratiqué sur 9 marques de collants, allant de DIM à Well en passant par H & M et Golden Lady : aucune ne passe le test haut la main. Le mal semble donc profond, poussant 20 Minutes à mener l’enquête.

    Des collants transparents et fragiles
    Florence Hampe, responsable de laboratoire pour l’Institut français du textile et de l’habillement, nous renseigne sur la première cible de nos accusations, la matière dont les collants sont composés. Les bas sont généralement faits avec de la polyamine et de l’élasthanne. Et non, ces matières n’ont pas la réputation d’être particulièrement fragiles. Là où le bas blesse (vous l’avez ?), c’est davantage dans la finesse des fils, « particulièrement sur les collants transparents ou semi-transparents, qui nécessite des fils très fins », nous renseigne l’experte. « Mais même avec les collants plus opaques, les fils restent peu épais, ce qui les rend friables ».

    Les collants voiles transparents représenteraient en France 72 % du marché, contre 21 % pour les opaques, estimait le rapport de HOP. Cette préférence pour les collants (semi-) transparents interroge Sarah Banon, professeure en théorie de la mode à l’Institut Français de la Mode : « On voit bien comme dans les vêtements féminins, le design et l’esthétisme prime sur le confort et la praticité. Cette prime à l’aspect visuel concerne la globalité de la mode chez les femmes : les talons, ce n’est pas pratique, les collants, ça se casse…. Chez les hommes, la mode insiste au contraire sur l’aspect robuste et sur la praticité du vêtement. »

    Dans une autre étude plus ancienne **, Createst demandait aux femmes de définir le collant : « fragile » était le deuxième mot à revenir le plus souvent, mentionné par 65 % de l’échantillon ( « féminin » arrivait en premier, avec 72 % de mentions). Une fragilité qui se voit dans la fréquence de consommation : 49 % des sondées achètent au moins une nouvelle paire tous les deux mois.

    Autre explication de la fragilité des collants, leur concept même : « Ce sont des vêtements portés constamment en extension et beaucoup tripotés au moment de les mettre, ce qui augmente forcément le risque », appuie Florence Hampe.

    Manque d’attention
    L’association HOP s’interroge elle sur des cas d’obsolescence programmée et des textiles volontairement affaiblis pour forcer au réachat. Une accusation pas nécessairement fondée, juge Sarah Banon : « La faiblesse des collants n’est pas forcément un choix délibéré. C’est simplement que ce n’est pas dans les critères prioritaires au moment de l’achat, qui sont plus le confort et le prix ». Comprenez : s’il n’est pas certain qu’ils rendent leurs collants plus fragiles, ils se tracassent peu pour les rendre plus solides.

    Majdouline Sbai, enseignante-chercheuse à l’université de Lille et autrice d’Une mode éthique est-elle possible ? (Rue Echiquier, 2018), espère que les choses pourront changer : « La fragilité du collant illustre bien comment on pense encore les vêtements comme quelque chose de jetable ». Toujours selon l’enquête HOP, 104 millions de collants seraient jetés chaque année en France (pour 130 millions de vendus). « A raison de 55 grammes en moyenne chacun, ils représentent en moyenne 7.315 tonnes de déchets », précise le rapport.

    L’heure de taper du poing sur la table
    Pour l’enseignante-chercheuse, il ne faut donc plus accepter ce gâchis écologique, et économique : les porteuses de collant dépenseraient en moyenne une centaine d’euros par an, toujours selon l’étude : « Il est temps de voir les collants comme un produit d’habillement, pas de consommation, et de demander des bas plus résistants », clame Majdouline Sbai.

    D’autant que la révolution pourrait vite se mettre en place : « Le collant est un produit si consommé et jetable que les utilisatrices testent plusieurs marques et bas différents. Si à un moment, un concurrent propose des bas vraiment durables, ça ne tardera pas à se savoir et à faire son trou. Il n’y a pas d’identité de marque là-dessus », estime Sarah Banon. Une marque qui devrait commencer par mieux tricoter ses paires, conclut Florence Hampe : « La manière de tricoter les fils est souvent simpliste, pour plus de productivité, ce qui les fragilise encore plus. » Les collants, c’est comme un couple : pour que ça dure plus longtemps, il faut leur donner plus d’attention.

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  • En France, selon l'association Halte à l’obsolescence programmée (HOP) née en 2015, ce sont 130 millions de paires de collants qui se vendent chaque année. Ce marché, trusté par les grands groupes et la GMS (soit les grandes et moyennes surfaces), qui a par ailleurs souffert de la crise sanitaire et des confinements successifs, attire pourtant de jeunes acteurs innovants. Et tous ont, chacun à leur façon, l’ambition de faire du collant un objet durable.

    Cygnes et ses collants résistants

    Partant du constant que 40% des femmes déclarent jeter une paire de collants après trois utilisations, c'est sur la résistance que Cygnes s'est positionnée. La jeune marque champenoise, qui participera pour la première fois au salon Made in France du 10 au 13 novembre, indique ainsi que ses collants s'utilisent environ trente fois.

    "Notre objectif avec Cygnes et de lutter contre l’obsolescence programmée des collants et faire de ce produit du quotidien un produit résistant et durable. Nos collants sont garantis trente jours, et nous les collectons en fin de vie pour travailler sur le recyclage, car à ce jour les collants ne sont pas recyclés", explique Inès Saadallah qui a cofondé Cygnes avec Axel Delannoy.

    Pour confectionner leurs collants, ce couple à la ville s'est allié à un atelier familial du sud de la France. Un acteur historique du collant qui s’est tourné depuis quelques années vers la fabrication de bas nylon ou de protection pour les grands brûlés. Une année de recherche aura été nécessaire pour voir sortir les premiers collants Cygnes, qui mêlent polyamide spécifique et élasthanne.

    "Nous vendons nos collants 34 euros environ, contre 12 euros pour un prix moyen. Notre défi est donc de sensibiliser nos clients sur le fait qu’un collant plus résistant, c’est un gain d’argent. Et puis, c’est aussi une façon de produire moins, donc d’être plus respectueux de l’environnement", détaille Inès Saadallah qui a vendu 4.000 paires de collants depuis sa création en décembre 2021. Jusqu’alors vendue via son e-shop, la marque Cygnes débute sa distribution physique via des concept-stores.

    Billi London et ses collants biodégradables

    En juin dernier, Billi London présentait ses collants sur l’espace Organic du Salon international de la lingerie. Lancé en mai 2020 entre l’Hexagone et l’Angleterre par Marie Bouhier et Sophie Billi-Hardwick, ce label pour le moins innovant propose des collants biodégradables fabriqués en Italie.

    Le principe? Les collants, fabriqués avec du nylon et de l’élasthanne, et dont les particularités sont tenues secrètes, se décomposent en décharge. En effet, les enzymes et bactéries présentent dans les décharges vont être attirés par les fibres et venir grignoter les collants. Résultat: les collants se biodégradent en 5 ans environ de mise en décharge, contre au moins 40 ans voire 100 ans habituellement. La marque précise cependant que la biodégradation s’opère en décharge et non dans un jardin ou au compost.

    Conseillée depuis ses débuts par Bernard Saltiel, qui fut président de la société Le Bourget pendant quinze ans, la marque Billi London vend ses collants en moyenne 25 euros. Elle est notamment présente via son e-shop et depuis le mois de septembre au BHV Marais à Paris.

    Yade, les collants Oeko-Tex

    Avec sa marque Yade, Déborah Elbaz s’est lancée sur le marché du collant il y a déjà quatre ans. Son idée: concevoir un produit résistant, qui s’adapte à toutes les morphologies, et certifié Oeko-Tex, ce qui signifie qu’il est fabriqué sans produits toxiques pour le corps ou l’environnement.

    Mais la marque, qui était présente pour la première fois sur l’édition du salon de mode Who’s Next en septembre dernier, propose également des modèles en fibres recyclées. Comme le collant Parfait Sans-Couture fabriqué en Italie et conçu à partir de chutes de nylon récupérées et régénérées via un processus entièrement mécanique (29,95 euros).

    En 2021, la marque, présente via son site et des concept-stores comme L’Exception à Paris, indique avoir vendu 50.000 paires de collants et devrait en écouler quatre fois plus en 2022. Depuis, Yade s’est diversifiée pour s’émanciper de l’effet de saison des collants et a lancé ses culottes menstruelles invisibles.

     

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  • Il est l'un des symboles de la fameuse obsolescence programmée, ne passant que très rarement la barre des trois ou quatre utilisations avant de finir en boule à la poubelle. Tel qu'on le connait depuis des décennies, le collant est source de gaspillage et de déchets, et pire, sa déclinaison la plus connue, en nylon, se veut des plus polluantes. Un problème que des marques ont pris à bras-le-corps, tentant de faire du collant une pièce durable et éco-responsable.

    Un trou, une déchirure, des bouloches, ou - horreur - cette longue ligne fine inhérente à une ou plusieurs mailles filées… Il existe mille et une raisons de jeter ses collants, et elles sont en prime fréquentes. De quoi accroître la montagne de déchets induite par l'industrie textile, toujours plus néfaste pour la planète. D'après l'association Halte à l'Obsolescence Programmée (HOP), près de 130 millions de paires de collants sont vendues en France chaque année, et 104 millions sont dans le même temps jetées, soit plusieurs milliers de tonnes de déchets… Rapportées aux quelque 8 milliards de paires vendues dans le monde, il y a de quoi s'interroger sur l'avenir de cet accessoire pourtant incontournable.

    Il faut dire que le collant ne jouit pas d'une très bonne image en matière de durabilité, se révélant aussi fragile que polluant. D'après une enquête menée par HOP en 2018 auprès de 3.000 personnes - essentiellement des femmes - le collant ne dépasserait pas les six utilisations dans 72% des cas, et quatre sondés sur dix affirment ne pas les utiliser plus de deux à trois fois, grand maximum. Pour couronner le tout, les collants filés (50%) et les collants troués (42%) finissent le plus souvent à la poubelle (64% des cas). Seuls 24% des répondants les réutilisent de diverses façons, et encore moins, de l'ordre de 10%, les déposent dans une borne de recyclage ou de collecte. Le tout sachant qu'un collant en nylon met au moins quatre décennies à se décomposer… De quoi motiver certains acteurs de la mode à tenter de réinventer cette pièce star du dressing féminin.

    Des matières plus responsables

    Plusieurs entreprises œuvrent depuis plusieurs années pour rendre le collant plus durable, avec des fils issus du nylon recyclé, à l'image de Fulgar ou Nilit, permettant aux marques de proposer des produits moins nocifs pour l'environnement. Il y a un an, on prenait en exemple les marques Hēdoïne et REV Society, engagées à proposer des collants écolos. La première via du nylon biodégradable pour une décomposition en 3 à 5 ans, la seconde via des collants en fils recyclés à partir de déchets industriels. Depuis, nombreuses sont les marques, installées ou émergentes, qui ont apporté leur pierre à l'édifice pour révolutionner un secteur sans cesse pointé du doigt.

    Une chose qui passe par l'émergence de matières moins impactantes pour la planète, et surtout plus résistantes. Fini le temps où le collant pouvait filer dès la première utilisation, l'objectif est de mettre fin au gâchis écologique qu'il représente. La marque Dear Denier propose des collants fabriqués à partir de chutes de nylon recyclées en Europe, quand Swedish Stockings privilégie le polyamide recyclé, et Billi London, pionnière en la matière, associe résistance et éco-responsabilité grâce à des fibres high-tech éco-responsables, tricotées en 3D. Une technique qui tend à se démocratiser, et à laquelle a également recours Organic Basics qui mise aussi sur le nylon recyclé.

    La marque Thought a quant à elle recours à la viscose de bambou, tandis que Yade mise sur des fibres certifiées Oeko-Tex résistantes aux étirements, frictions, frottements, et autres lavages, en vue d'augmenter significativement la durée de vie des collants. On le voit, les marques sont aujourd'hui de plus en plus nombreuses à tenter de réinventer ledit accessoire pour amoindrir son impact sur la planète. Et certains mastodontes comme Dim et Wolford, par exemple, ne sont pas en reste, proposant aussi - doucement mais sûrement - des collections plus durables. L'objectif principal étant de présenter des collections toujours plus 'propres' et résistantes, sans rogner sur le confort. Mais les acteurs du secteur planchent aussi sur la fin de vie du collant, une autre problématique à prendre en compte.

    La consigne et le recyclage

    On l'a vu, les collants génèrent d'importantes quantités de déchets textiles, contribuant non seulement à la pollution des eaux, mais aussi à la hausse des émissions de CO2. S'il est important de recourir à de nouvelles matières premières pour les fabriquer, il convient également de s'intéresser à leur fin de vie. Il est possible de s'engager à réduire son impact environnemental en déposant ses collants dans des points de collecte, où ils seront revalorisés en énergie, entre autres, plutôt que de les jeter à la poubelle où ils mettront plusieurs décennies à se décomposer. L'éco-organisme ReFashion propose pas moins de 45.000 points de collecte dans toute la France pour offrir une seconde vie à ces textiles, mais il est également possible de les déposer dans des bennes dédiées, des boutiques équipées, voire auprès d'associations.

    De son côté, TerraCycle recycle vos collants sur simple envoi. Il suffit pour cela de créer un compte en ligne, de sélectionner une boîte en carton, de collecter les collants, puis de les expédier grâce à une étiquette prépayée. Cerise sur le gâteau, recycler permet de gagner des points convertibles en dons pour les écoles ou associations de votre choix. L'entreprise Povera Slowdesign ne se contente pas de recycler les collants via des bornes de collecte - accessibles essentiellement à Lille et Paris - puisqu'elle les transforme - ou upcycle - en divers accessoires allant du collier au headband en passant par l'élastique ou l'éponge.

    Outre le recyclage, la consigne apparaît également comme une alternative pour limiter les déchets. C'est ce que proposait Atelier Unes avec son collant recyclé et consigné jusqu'en septembre dernier. Pour 2 euros supplémentaires à l'achat (restituables), il était possible de renvoyer ses collants en fin de vie afin que ces derniers soient recyclés. Si l'aventure s'est arrêtée pour la marque, nul doute qu'elle a ouvert la voie pour faire de la consigne une nouvelle habitude d'achat permettant de lutter contre les déchets et le gaspillage. Autant d'initiatives qui laissent penser que le collant a bel et bien entamé sa mue pour se tisser un avenir plus durable.

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  • Selon une étude, 40% des collants filent au bout de trois utilisations. Voici comment faire durer vos collants ! À motifs, fins, opaques, les collants sont partout et pour tous les goûts. Un problème réside cependant : on les file tout le temps. Pour faire durer nos jolis collants, voici quelques astuces. 

    En 2018, l’association Halte à l’Obsolescence Programmée alertait déjà le public sur l’utilisation limitée d’un collant. En effet, seulement 28% des collants résisteraient à 6 utilisations. 6, ça vous paraît déjà fou, non ? Le fait est qu’il existe des dizaines de collants différents, plus ou moins et résistants. Tout n’est pas une question de prix, mais de qualité !

    À découvrir également : Voici les collants qui ne filent pas ! Recyclés et écologiques ils sont parfaits pour un hiver au chaud

    Des collants à sa taille… c’est mieux !
    Si certaines conservent le réflexe de prendre une taille en dessous histoire de galber leurs gambettes, en matière de collant, c’est une erreur à éviter. Vous allez vous retrouver à tirer, remonter votre collant : en étirant la maille, il se filera et terminera sa journée à la poubelle.

    Hop, au congèle
    Vous avez bien lu. Conseil de grand-mère, il suffirait d’humidifier son collant avec de l’eau avant de le mettre au congélateur dans un sac en papier durant la nuit. Ensuite, on le laisse décongeler et on l’enfile. Le froid aide à solidifier le nylon et on ne lui dit pas non.

    Se limer les ongles
    Oui, ça peut paraître étrange mais se limer les ongles avant d’enfiler son collant, ça change la donne. Que vous les portiez courts ou longs, il n’est pas rare qu’un ongle légèrement amoché suffise à réduire votre collant à néant en l’enfilant.

    Éviter la glissade
    Quand les collants se font la malle, on a la fâcheuse tendance à les remonter tant bien que mal à coups d’ongles pour ne pas se retrouver en culotte dans le couloir. Le souci, c’est qu’on les fragilise énormément en faisant cela, surtout si le conseil précédent n'est pas appliqué... Pour rester sereine toute la journée, un caleçon ou un cycliste par-dessus votre collant vous garantira tenue et confort ! On évite la culotte qui, sans bande élastique, risquerait de se retrouver en bas des chevilles.

    Les chaussettes, indispensables
    Avec une paire de chaussette en dessous des collants, vous vous garantissez confort et anti pied-qui-glisse. En mettant une paire au-dessus, vous évitez la friction entre l’ongle et la chaussure, ce qui permettra (peut-être) de sauver votre collant un peu plus longtemps.

    Espacer les lavages
    Attendre 5 à 6 utilisations minimum avant de laver violemment vos collants. Entre-temps, on privilégie un lavage à la main, eau froide et un peu de shampooing avant de le laisser sécher à l’air libre. Attention, ne jamais utiliser d’adoucissant : il n’est pas copain avec l’élasthanne.

    La boîte à chaussures
    Pour les ranger il n’y a pas de secret, on bannit le tiroir à soutien-gorge et la boulette au pied du lit pour les entreposer soigneusement dans une boîte. Ce serait bête de les filer une fois rangés…

    S'ils sont compliqués, on excuse tout aux collants parce qu'ils subliment sans effort. Avec ça, difficile de leur en vouloir.

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  • Le nom de ce vêtement modifie ces collants - ils sont tellement rétrécis qu'ils ressemblent à une seconde peau. Ces collants vous procurent toute la chaleur dont vous avez besoin pour rester à l'aise lorsque vous les portez.

    De plus, les coureurs adorent porter ces collants pendant les mois d’été et d’hiver. De plus, ils sont extrêmement durables et peuvent durer de nombreuses années.

    Pourquoi porter des collants polaires transparents ?
    Les collants en polaire transparents sont parfaits pour vous garder au chaud durant les mois d’hiver, pour les personnes qui vivent dans des climats froids. La doublure intérieure douce et lisse qui vous permet de rester à l’aise lorsque vous vous déplacez et empêche le vent de traverser ce collant.

    Quels sont les avantages des collants polaires transparents ?
    Ils sont légers pour que vous puissiez courir pendant des heures sans vous sentir alourdi. Les collants en polaire transparents ont également un revêtement respirant qui empêche votre peau d’avoir trop chaud ou trop froid quand vous bougez. Le matériau en polaire doux a fière allure sur vos jambes, car il cache toutes les imperfections telles que :

    - les varices ;
    - les cicatrices ;
    - ou les ecchymoses.

    Une autre grande chose à propos des collants en polaire transparents est la façon dont ils s’adaptent pendant que vous les portez. Ils sont fabriqués à partir d’un matériau athlétique qui s’étire lorsque vous bougez sans frotter ni pincer votre peau. Cela vous permet de rester au frais, car cela empêche la transpiration excessive quand vous faites de l’exercice. Les collants en polaire sont résistants pour résister à de nombreux lavages sans s’abîmer. Cela les rend parfaits pour les sports de plein air ou les activités durant lesquelles vos vêtements se salissent rapidement.

    Les collants en polaire transparents ont fière allure quelle que soit la saison à laquelle vous choisissez de les porter, et ils vous gardent à l’aise et au frais même durant les jours les plus chauds. Dotés de toutes ces caractéristiques exceptionnelles, il n’est pas étonnant que tant de personnes utilisent des collants transparents en polaire !

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  • Est-il vraiment nécessaire de laver ses collants après chaque usage ? Réponse dans cet article avec une experte.

    C’est une question que certaines femmes se posent. Notamment à l’arrivée de l’automne. On sait combien les collants sont chers et ils sont aussi très fragiles. Est-il alors vraiment nécessaire de les laver après chaque usage comme toutes les paires de chaussettes ? Véronique Mathys, Senior Product Manager Legwear and Intimate chez Veritas, répond à la question. “Une seule règle : on lave sa paire de collants après chaque utilisation. N’oublions pas que les bas vont dans les chaussures. Donc comme pour les chaussettes, on met les collants à la machine après les avoir portés", explique-t-elle. 

    Les collants sont, pour la plupart, constitués de matière synthétique. Un composant qui retient la chaleur et l’humidité. Autant dire qu’il s’agit là d’un potentiel nid à bactéries. En portant votre paire de collants plus d’une fois sans les laver, vous vous exposez à des infections des voies urinaires.

    Comment faire pour les laver sans les craquer ? 
    “Il faut faire attention en les lavant de ne pas les abîmer. Idéalement, il faudrait les laver à la main, mais ce n’est pas toujours évident. Mon astuce est de les mettre dans un filet à linge”, nous révèle Véronique. Vous pouvez également, comme beaucoup d’autres vêtements fragiles, les retourner avant de les placer à l’intérieur du filet. Pour le lavage, vous êtes désormais fixés, il faut laver les collants après chaque utilisation. 

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  • Voici l'équipe de célébrités qui a assisté à la "Legs Celebration" de Calzedonia à Paris.

    La trajectoire du collant ne s'est matérialisée que parce qu'en 1935 le chimiste américain Wallace Carothers a inventé le nylon. L'attente était celle d'une soie synthétique révolutionnaire. Le 15 mai 1940, les premières paires de la pièce arrivent dans les vitrines des magasins aux États-Unis. Le succès fut tel que ce jour devint connu sous le nom de « N-Day ». Au cours de la seule première année, 64 millions d'articles ont été vendus et la renommée a fait le tour du monde.
    Ce mouvement est compréhensible. Un collant a le pouvoir de transformer les jambes. La marque italienne Calzedonia, référence du segment, a choisi le majestueux Palais Brongniart à Paris, pour commémorer la pièce. La soirée, intitulée « A Legs Celebration », a réuni une équipe tout aussi puissante de célébrités lundi soir.

    Des noms tels que Chiara Ferragni, Gala Gonzalez, Bianca Brandolini, Rossy Di Palma, Shay Mitchell, Sara Sampaio, Anna Dello Russo, Veronica Ferraro, Nathalie Moellhausen, Cindy Bruna, Leonie Hanne et   Pixie Lott ont traversé les salons éclairés de rouge. Retour en images sur cette soirée mémorable.





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  • C’est le sempiternel débat qui fait rage dans la mode. Entre ces deux camps qui semblent irréconciliables, on tente de faire le point.

    Alors que la température est en chute libre, on se voit difficilement sortir les jambes nues - à moins d’être vraiment très résistante au froid. Que l’on porte des robes polka, des bermudas en velours ou bien des jupes en cuir, les collants sont à la fois une solution anti-glagla et une option mode à ne pas négliger. Cependant, un problème survient lorsqu’il faut choisir cette pièce miracle. Deux camps s’opposent depuis des années. D’un côté, ceux qui trouvent que le collant transparent couleur chair est l’idéal pour donner l’illusion que l’on ne porte rien tout en se protégeant de la fraîcheur ambiante. Et de l’autre, ceux qui militent contre et qui ne jurent que par les collants plus ou moins opaques. Alors comment s’y retrouver dans cette problématique fashion qui ne laisse personne indifférent ? On vous donne la réponse que vous attendez tant.

    A lire aussi : L’œil de la styliste : 6 astuces pour choisir vos collants

    COLLANTS CHAIR : DÉSOLÉ MAIS C’EST UN NON
    Combien de fois avez-vous entendu Cristina Cordula déplorer : « Les collants chair sont un fashion faux-pas » ? Et bien, même si nous ne sommes pas tout le temps d’accord avec l’experte mode de M6, sur ce point, nous devons nous ranger de son côté. Ces collants seconde peau sont vieillissants et ne mettent en valeur aucune silhouette, ni aucun look. Ô que l’on comprend que c’est une solution bien confortable et pratique. Cependant, d’un point de vue purement stylistique, c’est un « don’t ». Pourquoi ? Cette pièce renvoie instantanément à un effet bas de contention que nos mamies peuvent parfois porter. L’aspect souvent satiné peut également rendre l’allure un brin cheap. Preuve en est, sur les podiums, on ne trouve pas beaucoup de collants chair. Des marques comme Calzedonia en proposent, bien évidemment, mais ce n’est sûrement pas pour un côté très fashion.

    COLLANTS OPAQUES : OUI MAIS À QUELQUES CONDITIONS
    Vous l’aurez compris, le collant opaque est donc, en quelque sorte, l’unique option qui s’offre à nous. Mais attention, il en existe une multitude. A commencer par l’opacité choisie. Ici, également, certains critères sont à respecter. Par exemple, on va préférer un collant semi-opaque à un collant totalement noir qui assombrira le look. Mais de plus en plus de créateurs remettent sur le devant de la scène le collant ultra opaque. C’est donc un phénomène à surveiller. Si vous aimez les collants totalement opaques, vous pouvez les choisir dans une matière un peu old-school pour créer un look vintage. Comme des collants en laine, par exemple. On peut également choisir des collants à motifs ou des collants couture – avec une bande fine sur le derrière. Cela peut donner un peu d’originalité mais surtout beaucoup d’élégance à la tenue.

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  • La papesse de la mode continue de distiller ses précieux conseils à travers son compte Instagram. Sur son dernier post, elle revient sur LE fashion faux pas à éviter en hiver comme en été : ne pas porter de collants couleur chair… Explications.

    Très active sur la Toile, Cristina Cordula n’hésite pas à partager ses looks et ses conseils mode à tous ses followers. Suivie par près de 1,3 millions d’abonnés, elle a déjà révélé ses conseils pour rester jeune et moderne à tout âge, mais aussi ses astuces pour dompter l’imprimé léopard comme il se doit. Elle avait aussi expliqué comment adopter le jean tendance de la saison à ses abonnés, avant de montrer comment s’approprier la tendance métallisée. Plus récemment, elle dévoilait aussi son ultime conseil mode pour être au top de la tendance (dépareiller ses bijoux et ses vêtements !) ou encore ses tips pour être sexy sans être vulgaire. Au moment des soldes, elle donnait aussi toutes ses astuces pour ne pas (plus) se faire avoir. Mais la belle Brésilienne ne s’arrête pas là et nous donne aussi des leçons de style en dévoilant ses plus beaux looks. Toujours à l’affût des dernières tendances mode du moment, elle est la première à adopter les sandales les plus en vogue de l’été ou encore le pantalon Zara que tout le monde s’arrache en ce moment. Et c’est toujours un sans-faute ! Alors quand elle nous en dit plus sur le fashion faux pas à éviter en été comme en hiver, on l’écoute les yeux fermés !

    Cristina Cordula : elle dit “non” aux collants couleur chair
    Avec son sens aigu du style et ses connaissances sur la mode, l’animatrice star de l’émission Les Reines du shopping diffusée sur M6, peut tout se permettre. Que ce soit un crop top, un jogging bariolé, et même un legging dentelle, la quinqua vise toujours juste ! Souvenez-vous, elle avait même créé le buzz en collants résille et santiags. Début juillet, elle apparaissait aussi fun et canon en total look tie and dye très tendance ou encore dans une tenue osée toute rayée ! Sur son dernier post Instagram, pas de tenue extravagante, ni de look inspirant, mais un ultime conseil mode à suivre à la lettre : “Je pense que vous le savez, mais les collants couleur chair, c’est vrai mon enfer personnel… C’est mémérisant et finalement inadapté à l’hiver et à l’été ! Bref, préférez montrer vos jambes nues ou bien porter un collant noir, résille ou plumetis…”, explique-t-elle en légende. Soit, le fashion faux pas à éviter à tout prix ! Compris ?

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