• Une page se tourne en Saône-et-Loire. Les derniers vestiges de l'entreprise Gerbe, à Saint-Vallier, ont été vendus aux enchères mercredi 20 janvier. Outre les fameux collants, les machines ont aussi trouvé des repreneurs.

    C'est un pan tout entier de l'industrie textile qui disparait à Saint-Vallier, en Saône-et-Loire. Le patrimoine de l'entreprise de collants Gerbe vient d'être vendu aux enchères mercredi 20 janvier.

    Créé au début du XXe siècle, Gerbe a pourtant traversé les époques grâce à l'excellence de son savoir-faire. Les dirigeants de l'entreprise étaient même reçus à l'Elysée l'an dernier. Gerbe faisait partie des fleurons industriels français mis à l'honneur par le président de la République.

    Après avoir atteint ces sommets, la chute est vertigineuse pour Gerbe. En septembre dernier, l'entreprise est liquidée. Face au commissaire-priseur mercredi, ils sont une quarantaine à assister à la vente aux enchères de ce qu'il reste dans l'usine.

    Les équipements vendus pour 60 000 euros

    En trois minutes, l'affaire est réglée. Un revendeur de matériel professionnel rachète tous les équipements de l'usine pour 60 000 euros. Un entrepreneur des Cévennes se console avec le stock de 80 000 collants restants acheté pour 8 000 euros.

    Il espère tout de même racheter les machines qui lui sont passées sous le nez. "Je vais me mettre en rapport avec le monsieur qui a acheté la totalité du matériel pour acheter tout un tas de machines et remonter un tricotage made in France", indique Patrice Bazin, grossiste en textile.

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  • Voici les collants qui ne filent pas ! Recyclés et écologiques ils sont parfaits pour un hiver au chaud

    Cette paire de collants fabriquée à partir de matières recyclées ne file pas. Terminés les déchets ! Nos gambettes entrent dans une nouvelle ère, celle des collants durables et écologiques.

    Révolution dans le monde de la mode ! Chaque hiver (et tout au long de l’année) c’est la même histoire : il suffit d’un accroc pour voir notre collant filer. Nul autre choix que de consacrer un budget conséquent à cette pièce, afin d’avoir une paire « en vie » à disposition. Pourtant, ce phénomène n’est qu’une obsolescence programmée. En effet, dès leur apparition à la fin des années 30, les bas en nylon ne filent pas. Fidèles compagnons de nos gambettes, ils étaient alors robustes et infaillibles. Découverte par le chimiste Wallace Carothers, qui se suicide avant de l’avoir nommée, cette nouvelle fibre fait de l’œil à l’industrie. Son équipe de chimistes, à qui incombe la tache de le commercialiser, décide alors de baptiser ce nouveau tissu suivant un acronyme formé des initiales des prénoms de leurs épouses : Nancy, Yvonne, Louella, Olivia et Nina = NYLON.

    Des collants durables et écologiques

    « Dans une publicité pour les collants datant des années 1950, on tracte même une voiture en la reliant à une autre grâce à une paire de collants solidement nouée » rappelle La Voix Du Nord. C’est dans les années 60 que l’industrie a la « merveilleuse » idée de concevoir des collants flanqués d’une durée de vie réduite… Histoire de nous pousser à une consommation perpétuelle.

    Selon une enquête menée par L'association Halte à l'Obsolescence Programmée (HOP), 104 millions de paires de collants sont jetées chaque année. Un chiffre vertigineux, qui, mis bout à bout, représente la hauteur de la Tour Eiffel. « Dans 72% des cas, les collants ne dépassent pas 6 utilisations, voire seulement 3 utilisations pour plus de 40% » précise l’enquête.

    C’était sans compter une petite révolution : l’apparition des collants REV.Conçus en fil polyamide recyclé à partir de déchets textiles, ces collants sont durables, écologiques, de haute qualité et surtout… Ils ne filent pas. Autre particularité, en cas d’accroc ils peuvent être recousus. Par ailleurs, le design se veut confortable, il est donc dépourvu de couture à l’entrejambe. Fondée par Aurore Jacques et Laëtitia Paput, deux jeunes femmes ayant fait leurs armes dans l’univers du luxe, Rev Society bouleverse les codes.

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  • L’atelier Peyrache à nouveau sur les rangs avec un projet innovant

    Envoyer le personnel licencié en formation, diversifier la fabrication (collants, bas et tailleurs), abandonner le site à Saint-Vallier pour installer l’usine proche de la RCEA et conserver la marque Gerbe, tel est le projet de Ludovic Gaudic, directeur général des Ateliers Peyrache. Explications.

    Fin mai 2020, lorsque la manufacture Gerbe est placée en redressement judiciaire, la société auvergnate L’atelier Peyrache fait acte de candidature à la reprise du célèbre fabriquant de bas et collants à Saint-Vallier. Elle est en concurrence avec les chaussettes Kindy.

    Or le 18 juin, le tribunal de commerce de Chalon-sur-Saône surprend tout le monde, retoque les projets Peyrache et Kindy et accorde sa confiance à  l’actionnaire chinois, le groupe hôtelier chinois, Chogqing Tianci Hot Springa qui ainsi, revenait aux manettes de Gerbe qu’il venait de lâcher quelques semaines plus tôt. Un vrai faux départ puisque trois mois plus tard, ce 10 septembre, toujours le tribunal de commerce, plaçait directement Gerbe en liquidation judiciaire avec à la clé, le licenciement des 33 salariés. On ne fait plus dans la dentelle.

    Du côté de L’atelier Peyrache, on gardait toujours un oeil attentif sur l’évolution de Gerbe. A l’annonce de la liquidation, le lendemain, la société auvergnate déposait une lettre d’intention et présentait pratiquement le même dossier qu’en mai. « Le dossier que j’ai déposé répond au projet initial mais différent » annonce Ludovic Gaudic, directeur général de la société L’atelier Peyrache situé à Saint-Didier-en-Velay.

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  • Porter une robe, une jupe et montrer ses jambes, aujourd’hui, rien de plus naturel pour une femme. Mais, il y a ce mais. « Quand j’ai travaillé à Schneider Electric, un milieu très masculin, je ne mettais jamais de collant et de jupe. Je n’étais pas en confiance » raconte Delphine Chapelle. Pudique, non, juste pas à l’aise.

    Et pourtant, le collant est l’équivalent de la cravate pour l’homme. Au premier regard, c’est ce qui fait toute la différence d’où parfois chez la femme ce sentiment de malaise. « Alors j’ai pensé au collant que j’aimerais porter » ajoute la jeune femme.

    Un matin de novembre, Delphine Chapelle est en pleine discussion avec Philippe Genoulaz, directeur de la manufacture Gerbe à Saint-Vallier. Son idée a fait son chemin depuis leur rencontre au salon Made in France en 2018. Dans le bureau du boss, ils règlent les derniers détails de leur collaboration.

    Schneider Electic est loin pour Delphine. Désormais, elle est créatrice designer sans aucune formation de styliste. Elle croque, dessine. « A 12 ans, je faisais des collections de vêtements, je les dessinais moi-même et, avec ma soeur et ma cousine, on défilait devant les parents ». Pendant 11 ans, l’ingénieur en science des matériaux, spécialisé dans l’isolation, a attendu son heure.

    Imaginer, créer, fabriquer « le » collant dont rêve Dephine, celui dans lequel la femme puisse se sentir à l’aise sans qu’elle se préoccupe de sa tenue, le premier prototype, « une maquette » précise-t-elle, se fait les mailles sur sa machine à coudre en octobre 2018 à Saint-Geoire-en Valdeine (38).

    C’est un legging-collant, « un combiné de fil transparent pour les jambes et opaque pour le haut, « quelque chose qui nous couvre », le tout d’une résistance à bien des épreuves. Delphine apporte sa petite coquetterie, la jarretière intégrée jambe droite, « c’est ma marque de fabrique » révèle-t-elle.

    Non seulement Delphine Chapelle déniche Gerbe _ la marque de luxe lui apporte son concours technique essentiellement et chaque modèle, au nombre de quatre, est fabriqué sur les machine de l’usine à Saint-Vallier et le savoir-faire du personnel _ mais elle assure sa promo. « J’incarne moi-même mon produit ». Elle aurait tort de se priver. Sur les boîtes, ce sont ses jambes. Et la jolie frimousse, la sienne également.

    Philippe Genoulaz est admiratif de la prise de risque de la jeune chef d’entreprise, même si Gerbe a pris en charge le développement. « Mais ça fait partie de la stratégie de l’entreprise. Nous revenons à l’ADN de Gerbe quand en 1094, la manufacture a fait confiance à de jeunes créatrices » estime-t-il.
    Delphine Chapelle,

    Gerbe fabrique mais toute la commercialisation est de la compétence de Delphine sous le nom de Mailleself dont les modèles sont exclusivement disponibles sur son e-commerce.

    Le legging-collant combiné est de conception entièrement française sur une idée originale. La femme inspire, Delphine s’en inspire. Elle ose, elle est de celles qui osent, disait Guy d Maupassant : « La femme rêve toujours, elle rêve de ce qu’elle ignore, de ce qu’elle soupçonne, de ce qu’elle devine ».

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  • En hiver, les collants deviennent nos meilleurs amis. En plus d’habiller nos robes et nos jupes, ils protègent nos jambes du froid glacial. Le problème, c’est que porter des collants, ce n’est pas si facile. On vous propose 17 vérités que toutes celles qui portent régulièrement des collants vont comprendre.

    Quand l’hiver arrive, on ressort nos gros manteaux, nos pulls doudous, mais aussi et surtout, nos collants.

    Traverser le froid glacial sans nos collants adorés ? Impossible ! En plus de sublimer nos robes d’hiver et nos mini-jupes, ils nous protègent des températures négatives.

    La bonne nouvelle, c’est qu’il existe un large choix de collants : des transparents, des opaques, des colorés, des imprimés, des trompe-l’œil, etc. D’autant plus de choix à mixer avec nos pièces mode préférées.

    La mauvaise nouvelle, c’est que les collants, c’est un vrai casse-tête. Ils se filent dès qu’on les enfile, ils s’accrochent de partout ou font remonter nos jupes. Bref, les collants, on adore les détester.

    En pleine période hivernale, on vous propose 17 choses que les filles qui portent des collants ont déjà dû affronter.

    Les problèmes de collants

    « Qu’est-ce que je vais bien pouvoir porter comme chaussures tendance aujourd’hui ? » Ça, c’est la question que vous vous posez tous les matins. Mais avec des collants, la réponse est toute trouvée puisqu’ils ne vont qu’avec des bottines ou des bottes. La nouveauté c’est qu’il existe aujourd’hui des collants faits pour les baskets.

    En portant des collants, vous avez toujours l’impression de mener un combat perdu d’avance. Vous aurez beau les remonter, ils finiront toujours par retomber cinq minutes plus tard.

    À chaque pause pipi, c’est la même chose. Vous vérifiez dix fois que votre jupe ne soit pas coincée dans vos collants ou qu’un trou soit subitement apparu sur les mollets.

    Vos ongles vous font peur. Quand vous enfilez vos jolis collants neufs, vous évitez soigneusement les mouvements brusques et vous avez l’impression d’avoir des couteaux bien aiguisés au bout des doigts.

    À chaque fois, vous perdez bien dix minutes à vous demander si c’est le devant ou le derrière que vous avez devant vous.

    Si vous filez votre collant, vous allez forcément essayer de le camoufler sous votre robe ou votre jupe en cuir en espérant très fort que le trou se fasse sur le haut de votre jambe.

    Vous vous demandez toujours ce que signifient les différents deniers : 10, 20, 30, 40, 50, au final, tout le monde s’en moque. Non ?

    Avec des collants, vous avez toujours froid à l’extérieur et toujours chaud à l’intérieur. C’est comme ça, c’est la dure loi de l’hiver.

    Les galères que l’on rencontre avec des collants

    La pire chose à vivre avec des collants : quand un trou se forme et laisse échapper un de vos orteils. Ça, c’est vraiment l’enfer.

    Vous savez que vous avez les jambes sèches quand de légères pellicules blanches s’échappent de vos collants noirs opaques.

    Finalement, vous aimez bien les petites bouloches qui se forment sur vos collants. Ça vous occupe dans le train, le métro ou la salle d’attente

    Vous détestez les tailles mixtes, comme par exemple M-L. Soit vous vous sentez oppressée, soit vos collants baillent autour de vos genoux et de vos chevilles, et vous détestez cela.

    Vous planifiez toujours un laps de temps pour vous déshabiller sans que votre nouvelle conquête ne vous aperçoive seulement en collants.

    Vous avez toujours froid aux pieds quand vous portez des collants, mais il est hors de question que vous rajoutiez des chaussettes par-dessus : vous avez trop peur de transpirer.

    Chaque matin, vous vous dites que vous allez tenter de copier le look d’Alexa Chung, aka la reine de la jambe nue, mais à chaque fois, vous finissez par enfiler une paire de collants bien épais.

    Votre tiroir à sous-vêtements ne ressemble qu’à un amas de collants divers et variés.

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  • Des collants recyclés, écolo ET confortables comme jamais ? C'est la promesse de REV Society, que madmoiZelle a mise à l'épreuve dans un test en conditions réelles !

    Sept mille tonnes. C’est le poids de la Tour Eiffel, mais aussi celui de tous les collants filés jetés chaque année en France — 104 millions d’exemplaires qui finissent à la poubelle, excusez du peu ! Et ce n’est pas le seul aspect polluant de ces accessoires, puisque pour en fabriquer une paire, il faut 750 litres d’eau, dix kilomètres de fil synthétique, des teintures, sans compter le coût écologique du transport lorsque les collants sont produits à l’autre bout du monde.

    C’est ce constat qui a mené les fondatrices de REV Society à créer la première marque française à proposer des collants recyclés, que j’ai testés pour vous !

    REV Society, une marque française de collants écolo

    REV Society est une toute jeune marque, née en 2019 et fondée par deux jeunes femmes, Aurore Jacques et Laetitia Paput. Ayant constaté que les collants sont extrêmement polluants, de leurs procédés de fabrication à leur courte durée de vie, elles ont décidé de changer la donne.

    Pour cela, elles se sont appuyées sur les premières concernées : 1500 femmes ont été sondées au sujet du « collant de leurs rêves », afin d’aider Aurore et Laetitia à créer l’accessoire idéal, à savoir le premier collant écolo du marché français.

    L’écologie restant au cœur de leur démarche, elles ont tenu à faire fabriquer leurs modèles en Europe, dans une usine italienne, avec des matières recyclées. La qualité est toute aussi essentielle, puisque des collants ne peuvent être écolo s’ils sont victimes de l’obsolescence programmée nous forçant à en racheter très souvent ! Il fallait évidemment que les productions REV Society soient à l’épreuve de la vie quotidienne.

    Le succès fut au rendez-vous, alors un an après sa création, Aurore et Laetitia ont lancé leurs premiers collants fantaisie. Ils sont tout fins, en maille 20 deniers, ornés d’un joli plumetis ou d’une légère résille, et disponibles du S au XXL, un bel éventail de tailles pour une si jeune marque.

    Des collants qui ne flinguent pas la planète ET ne me lâchent pas à la moindre contrariété… Il fallait que je tente l’aventure.

    Les collants recyclés de REV Society : le crash-test

    Pour ce test hautement scientifique (non), j’ai choisi le modèle « collant velouté 50 deniers », car à Paris, on commence à frissonner gentiment du boule en ce mois d’octobre. Exit donc les options plus légères en 30 ou 20 deniers.

    Au niveau de la taille, je fais du 42-44 en bas, ce qui correspond au XL chez REV Society. Première bonne nouvelle, le collant me va parfaitement ! Ça change des modèles « taille unique » vendus à bas prix qui ne font que me cisailler l’estomac.

    L’objet est arrivé dans un packaging recyclé ET recyclable, sans la moindre trace de plastique. REV Society annonce que ces collants produisent 50% de CO2 en moins et consomment 40% d’eau de moins qu’un modèle traditionnel ; ils sont eux aussi recyclés et recyclables (certification Global Recycled Standard). Voilà pour les éléments techniques !

    Les collants les plus confortables de ma vie

    Pour continuer dans la thématique du confort, comment vous dire… J’ai été soufflée en enfilant les collants REV Society. Ils glissent sur mes jambes, se lovent autour de mes pieds, passent mes hanches et mes fesses sans encombre avant de se poser gentiment sur mon ventre.

    Ils sont confortables, quoi. Parce qu’ILS ONT ÉTÉ PENSÉS POUR ÇA !

    Aurore Jacques et Laetitia Paput sont des femmes, elles ont l’expérience du collant qui serre les cuisses, comprime les hanches, entrave les orteils, malmène l’entrejambe. C’est pourquoi elles ont prêté une attention toute particulière au fait que leurs créations soient agréables à porter.

    Ayant des jambes plutôt petites, je remonte haut le collant, mais il ne m’étouffe en rien : cette large bande élastique à la taille est d’un confort inédit ! Mon ventre vraiment pas très plat vit sa vie tranquillement, sans effet gainage et sans bourrelets. Quel plaisir.

    Dernier détail : c’est la première fois que je ne me retrouve pas confrontée à la problématique du collant qui glisse inexorablement, ploie sous l’influence de la gravité et dégouline millimètre après millimètre dans un mouvement aussi lent que désagréable.

    Vous savez, ce moment où vous avez l’impression (parfois véridique) que l’entrejambe de votre collant est arrivée au niveau de vos genoux, et qu’il vous faut le remonter « discrètement » dans un geste aussi gracieux que le pas d’une grenouille ayant abusé de la 8.6 ? Oui, ça, voilà.

    Eh bien en plusieurs jours à crapahuter avec mes collants REV Society, à prendre le métro, à marcher, à monter des escaliers, à m’assoir et me lever, je n’ai pas eu à les remonter une seule fois. Et je n’ai pas eu à utiliser la fameuse technique de la double culotte ! C’est peut-être un détail pour v… Non je déconne, vous-mêmes vous savez que c’est pas DU TOUT un détail.

    La qualité des collants REV Society

    C’est très bien tout ça, mais si ces collants parfaits ne résistent pas plus que les autres, ça ne sert à rien. À part à me briser le cœur. Et personne ne veut ça.

    N’écoutant que ma déontologie journalistique, j’ai décidé de maltraiter un peu mes collants REV Society. Je les ai enfilés et retirés sans ménagement, j’ai pris mon chat sur mes genoux, j’ai porté des bagues (avec des pierres, pas des anneaux tout lisses !), j’ai pris l’apéro avec, j’ai porté des bottines à fermeture éclair, bref : je les ai soumis à tous les risques d’une vie quotidienne de citadine.

    Eh bien. Ils n’ont. Pas. Bougé. DONC C’ÉTAIT POSSIBLE DE CRÉER DES COLLANTS DE BONNE QUALITÉ. Fallait le dire plus tôt !

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  • La marque italienne fait le buzz sur la toile avec son nouveau « collant à effet usé » vendu à un prix exorbitant, qui n’a pas manqué de faire réagir les internautes.

    Après avoir fait le buzz en créant un jean délavé effet « tâches de gazon »(qui coûte la modique somme de 680 euros), la marque Gucci lance un tout nouvel accessoire de mode insolite cet automne qui sidère le web.

    Les raisons de la discorde ? Il s’agit d’une paire de collants noire et effilée, vendue au prix dérisoire de… 140 euros.

    Au cas où certains croiraient à une blague, le vêtement est bien décrit officiellement comme un « collant à effet usé » sur l’e-shop de la marque de luxe et sur un site revendeur. Sur les photos de l’article, des trous et des déchirures apparaissent bien à l’avant et à l’arrière du collant, sur les deux jambes… et ce n’est pas un défaut de fabrication.

    LA PAIRE DE COLLANTS DÉCHIRÉE GUCCI AMUSE LES INTERNAUTES

    Le prix démesuré de cette simple paire de collants, qui plus est déchirée, a attiré les foudres et les moqueries des internautes sur les réseaux sociaux. Même la Youtubeuse française et fan de mode Léna Situations s’est insurgée de cette découverte sur son compte Instagram.

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  • Année

    Consommation

     

    1977

    366 millions de paires

     

    1978

    365 millions de paires

    - 0.3%

    1979

    365,4 millions de paires

    +0.1%

    1980

    365,1 millions de paires

    -0.1%

    1981

    364.2 millions de paires

    -0.2%

    1982

    363 millions de paires

    -0.3%

    1983

    362,7 millions de paires

    -0.1%

    1984

    363,5 millions de paires

    + 0.5%

    1985

    366,2 millions de paires

    +0.2%

    1986

    368 millions de paires

    +0.5%

    1987

    374 millions de paires

    +1.6%

    1988

    379,7 millions de paires

    +1.5%

    1989

    374 millions de paires

    -1.5¨%

    1990

    362,8 millions de paires

    -5,1%

    1991

    355 millions de paires

    -2.1%

    1992

    322 millions de paires 

    -9.3%

    1993

    309,8 millions de paires

    - 3.8%

    1994

    284 millions de paires

    - 9.1%

    1995

    295 millions de paires

    + 4.1%

    1996

    247 millions de paires

    -19.4%

    1997

    214 millions de paires

    -13%

    1998

    208 millions de paires

    -2.8%

    1999

    196 millions de paires

    -6.1%

    2000

    190 millions de paires

    -3%

    2001

    187 millions de paires

     -1.6%

    2002

    170 millions de paires

     -10%

    2003

    144,5 millions de paires

    -15%

    2004

    140,3 millions de paires

    -2.9%

    2005

    126 millions de paires

    -10%

    2006

    133,4 millions de paires

    +5.9%

    2007

    150,7 millions de paires

    +11.2%

    2008

    163,8 millions de paires

    +8.7%

    2009

    148,2 millions de paires

    -9.5%

    2010

    206,2 millions de paires

    +39.1%

    2011

    182 millions de paires

    -11.7%

    2012

    147 millions de paires

    -19.2%

    2013

    140 millions de paires

    -4.8%

    2014

    133 millions de paires

    -5%

    2015

    132  millions de paires

    -0.75%

    2016

    130 millions de paires

    -1.5%

    2017

    152 millions de paires

    +16.92%

    2018

    215 millions de paires

    +41.45%

    2019

    130 millions de paires

    -39.53%

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  • Il est aujourd'hui fréquent de trouver dans les collections des marques de mode, des collants pour femmes avec motifs imprimés imitation tattoo qui assurent un effet seconde peau rendant l'illusion parfaite. Avant de sauter le pas et de vous faire tatouer sur la cheville ou sur les jambes, pourquoi ne pas essayer d'abord un collant tatouage ? Un moyen très efficace de se faire une petite idée de ce à quoi on pourrait ressembler en passant entre les mains d'un tatoueur. Vous changerez de peau et de style à votre guise, à vous de choisir, pour donner une touche rock ou sexy à vos tenues ! Les motifs imprimés façon tattoo casse la monotonie d'un collant chair classique pour apporter de la fantaisie à ses tenues vestimentaires. La mode du collant à motif imprimé en trompe l'œil croise désormais la route des adeptes du tatouage, c'est la tendance du moment. Découvrez vite ces collants originaux qui vous donneront des look à en rendre jalouse plus d'une ... Une nouvelle façon pour une femme, de porter le tatouage et d'affirmer sa personnalité. Le collant effet tatouage devrait trouver un nombre croissant de femmes décidées à oser ce dress code, au fur et à mesure que la diversité des motifs proposés, liés au monde du tattoo, grandira; du simple petit motif tribal au tatouage intégral. N'attendez plus, laissez vous séduire par notre jolie gamme et sublimez vos jambes.

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  • On le croyait has-been, largement délaissé au profit du collant mat noir, ou de ses confrères de couleur, mais il semblerait que le collant chair revienne en force sur la scène fashion. Un retour glamourisé par l’icône mode de la Couronne d’Angleterre: Catherine, la Duchesse de Cambridge. Depuis son mariage le 29 avril dernier en l’Abbaye de Westminster, Catherine se glisse avec aisance dans son nouveau rôle d’épouse dévouée du Prince William. Que ce soit en parcourant le Canada et les Etats-Unis pour son premier voyage officiel l’été dernier, ou plus récemment visitant l’unité réservée aux enfants atteints du cancer de l’Hôpital Royal Marsden de Londres, Kate impose un style irréprochable. Bien souvent en robe, elle a fait de l’épure chic et glamour sa marque de fabrique, et ne quitte jamais ses collants chair, véritable seconde peau. Car oui, Catherine, princesse des cœurs mais surtout du style, a remis au goût du jour un paria de notre dressing, celui qui squatte inlassablement le fond de nos tiroirs sans jamais voir la lumière du jour, ne trouvant jamais grâce à nos yeux car il est soit trop orange, soit trop foncé: le collant nude. Anna Dello Russo herself –respectée rédactrice en chef du ô combien stylé Vogue Japon- a adoubé cette fashion prise de risque: «Kate Middleton a un côté vieux jeu… mais quand elle porte des collants chair, cela semble tellement avant-gardiste. Je pense qu’elle a le genre de personnalité qui peut les rendre modernes», confie-t-elle au Daily Mail. Un retour sur le devant de la scène mode très médiatisé, aussi bien via Kate mais aussi via sa sœur Pippa. Les deux anglaises ne jurent que par les collants nude, et ont relancé malgré elles l’industrie du bas couleur peau. Après le mariage du Duc et de la Duchesse, le magasin Debenhams a vu ses ventes de collants chair augmenter de 65%, et le «Royal Tour» outre-Atlantique en juillet dernier a achevé de démocratiser cette tendance. Longtemps considéré comme démodé, selon un porte-parole du groupe Kayser-Roth, le collant transparent est aujourd’hui l’atout indispensable «pour être élégante». Comme Kate.

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