• Kate Middleton porte souvent des collants, et cela a inspiré les femmes américaines qui ont copié la duchesse de Cambridge. Grâce à elle, les ventes de collants n’arrêtent pas d’augmenter.

     

    Kate Middleton et sa sœur Pippa sont devenues des modèles d’élégance, et leur look est désormais copié à travers le monde. Et les marques de collants peuvent les remercier ! En effet, des stars comme Sarah Jessica Parker, Mischa Barton et Hayden Pannetiere n’hésitent pas à les copier et la demande  de collants couleur chair a augmenté de 12% en mai aux États-Unis. Depuis que Kate et Pippa Middleton ont été aperçues en train d’en porter, tout le monde se les arrache : "La demande pour les collants très légers, chairs et transparents n’est pas un hasard. Ça vient de Londres et c’est devenu très élégant", a déclaré un cadre de la marque Kayser-Roth.

     

    Valerie A. Makie, la directrice marketing de la marque Invista, est persuadé que Kate et Pippa Middleton ont relancé la mode du collant, que l’on a beaucoup vu sur les défilés cet automne : "Je pense que ce sont les jeunes qui ne portaient pas de collants dans le passé qui sont intéressés. C'est pourquoi les collants font autant partie du défilé Victoria’s Secret. Avec la marque Silks au Canada et dans des pays comme l'Espagne, où les collants représentent 50% de l'activité totale de la bonneterie", a révélé la jeune femme. Lady Gaga et Rihanna peuvent aller se rhabiller!

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  • La marque de collants Gerbe s’est associée au créateur Gaspard Yurkievich pour lancer une collection automne/hiver 2011/2012 plus que jamais sensuelle : 10 modèles de collants inédits et leurs déclinaisons en jambières, mi-bas et socquettes. Du modèle « New York », « Nomade » ou « Surprise » en passant par le « Sublime » ou « Mon Secret », cette collection utilise des matières ultra-féminines comme la broderie, la dentelle, le tulle, et confortables comme la laine ou encore le coton. Une gamme en adéquation avec l’esprit si parisien, avant-gardiste et graphique du créateur déjà connu pour ses chaussures et son prêt-à-porter. Il était finalement naturel que la maison Yurkievich et Gerbe, l’une des toutes dernières fabriques françaises de bas et collants, s’associent pour créer des collants enfin chics et confortables. La collection sera disponible dans les boutiques Gerbe et leurs différents points de vente à partir du 1er juillet

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  • La fibre LYCRA® Fusion s’appuie sur une nouvelle technologie de fibres bicomposées en cours de brevet, qui apporte de la fusibilité et d’excellentes propriétés d’extension, contribuant à empêcher le démaillage tout en conservant l’extensibilité et la reprise élastique qui ont fait la réputation de la marque de fibre LYCRA®. La fibre LYCRA® Fusion :

    • permet de fabriquer des collants qui résistent au démaillage ;
    • renforce la résistance et la durée de vie des articles chaussants ;
    • offre une tenue exceptionnelle et assure la stabilité dimensionnelle ;
    • peut être utilisée par les fabricants de collants avec des machines et processus commerciaux ;
    • donne un aspect uniforme aux collants ;
    • sera proposée par de grandes marques dès l’année prochaine.

    Ce lancement est soutenu par une nouvelle campagne de la marque de fibre LYCRA®, réalisée par l’agence de publicité maria Werbeagentur GmbH (basée à Hambourg) et photographiée par Stephan Abry. Une femme portant des collants intégrant la fibre LYCRA® Fusion est entourée de motifs de « cactus » et de « roses » qui représentent un paysage naturel magnifique mais potentiellement dangereux. Selon Denise Sakuma, segment director for legwear chez INVISTA : « Nous pensons que la communication autour de cette innovation ne doit pas se limiter à décrire le bénéfice fonctionnel (contribuer à empêcher les mailles de filer), nous souhaitons lui donner aussi une dimension émotionnelle qui envoie un message aux femmes : le monde est plein de dangers, mais elles peuvent se sentir confiantes et rassurées grâce aux avantages de la fibre LYCRA® Fusion. »

    Disponibles d’ores et déjà en Espagne, les collants intégrant la fibre LYCRA® Fusion seront proposés par de grandes marques en France, Pologne, Allemagne, Italie et Biélorussie dans les collections de l’automne hiver 2010/2011.

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  • Mars 2011. C'est pour une fois une petite entreprise qui en rachète une grosse. Le spécialiste des collants, Le Bourget France, installé dans l'Aisne (36 M  € de chiffre d'affaires en 2010), met ainsi la main sur Well, la marque de collants de Le Vigan (50 M € de CA).
    La transaction aurait coûté 16 M € au groupe italien CSP International, détenteur du Bourget France. C'est à Fresnoy-le-Grand (Aisne) que va s'installer la nouvelle entité, qui réunit les deux sociétés sous le nom de CSP Paris. Ce rapprochement permettra aux deux marques d'avoir des assises plus solides sur le marché face à l'omniprésent Dim. Ce dernier rafle 40 % des ventes de collants en France, contre 20 % pour Well et 10 % pour Le Bourget. Avec l'atout pour CSP Paris d'être à la tête de marques aux positionnements complémentaires : haut de gamme pour Le Bourget, accessibilité pour Well.

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  • Marie Antoilette est une toute jeune marque de collants qui propose des chouettes imprimés façon illustrations ou tatouages !
    Ça y est, l’heure de re-couvrir ses gambettes a sonné. Fini le mollet qui prend l’air, le cuissot qui se réchauffe avec amour sous les rayons du soleil : le collant est bel et bien de retour. Alors quitte à ne pas sombrer dans la déprime post-estivale, autant en porter des beaux.

    C’est là que je vous présente Marie Antoilette, une jeune marque de collants au nom rigolo que j’ai récemment découvert. Son crédo ? Des collants imprimés aux dessins follement poétiques : motifs japonisants, illustrations graphiques, tatouages de pin up… il y en a pour tous les goûts, et c’est bien joli !

    Marie Antoilette et ses collants imprimés

    Le seul hic, c’est le prix : 30€ la paire, ça me fait un peu grincer les dents. Parce que ne nous leurrons pas, le collant a souvent une durée de vie très limitée. Trop limitée.

    Toutefois j’ai un peu d’espoir concernant ceux-ci sachant que le denier d’indice 50 est plutôt épais et que la totalité de la fabrication est réalisée en France. Ne reste plus qu’à espérer qu’ils soient aussi costauds que jolis !

    Marie Antoilette et ses collants imprimés

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  • L’innovation technique datait d'un quart de siècle. Un jour, les hommes de marketing s'en sont mêlés...

    EN BREF : Retournez les étiquettes de vos maillots de bain, feuilletez les magazines de mode: le Lycra est partout. Cette fibre synthétique d'une remarquable élasticité, mise au point au début des années 60, poursuivait une honorable carrière quand son inventeur - le géant américain de la chimie Du Pont de Nemours - décida d'en faire un produit à part entière, en poussant son utilisation chez les créateurs de mode et sa notoriété auprès du grand public. Un succès foudroyant, très rentable et hautement instructif.

    Velocita/dinamo/furioso/delirio/lucido/Stretch ". Non, ce n'est pas du rap. C'est, dans une version quelque peu délirante, le nom que Marithé et François Girbaud, jeunes créateurs de mode parisiens, donnent à leur matériau préféré: le "Stretch", plus connu sous le nom de Lycra. Depuis quelques années, cette fibre magique a envahi les collections. Elle donne de l'élasticité aux vestes de Jean-Paul Gaultier, rend moulantes les petites jupes d'Azzedine Alaïa, et se glisse jusque dans les rubans des robes à paillettes d'Arnaud et Thierry Gillier. Omniprésente de la haute couture aux sous-vêtements en passant par le prêt-à-porter et les maillots de bain, elle constitue l'un des plus étonnants succès de marketing dans un secteur qui, depuis longtemps, n'avait pas connu pareille aubaine, la chimie du textile. Surtout pour son principal producteur, le chimiste américain Du Pont de Nemours. Toujours utilisée à doses homéopathiques, incorporée à hauteur de 5 ou 10 % dans un tissu de coton, de laine ou de n'importe quelle autre matière, elle lui donne des propriétés d'élasticité qui fascinent les créateurs de mode.

    Pourtant, la fibre n'est pas nouvelle. Elle a été élaborée au début des années 60 dans les laboratoires de Wilmington (Delaware) par Du Pont de Nemours, justement, l'inventeur du Nylon et du Kevlar. A l'origine, ce produit très technique, baptisé Elasthanne, sert à remplacer le caoutchouc, en particulier dans les gaines que portaient les femmes à l'époque. Au cours des années 70, il commence à apparaître dans les maillots de bain et les vêtements de sport. La mise au point de fils de plus en plus fins permet de l'incorporer aux collants: 40 % de ceux qu'on vend aujourd'hui aux Etats-Unis contiennent de l'Elasthanne. Arrive enfin la mode des " cyclistes " : ces caleçons courts, noirs et brillants qui font fureur — pas seulement chez les adeptes du vélo. L'engouement est mondial. Au cours des cinq dernières années, le chiffre d'affaires du Lycra a doublé. En Europe et aux Etats-Unis, bien sûr, mais aussi en Asie ; en Amérique latine, la demande est telle que les huit usines de Du Pont ne parviennent plus à la satisfaire. Et pourtant, dès 1987, un énorme programme d'investissement est engagé: 1 milliard de dollars pour doubler la capacité de production mondiale. Une nouvelle usine se construit en ce moment à Singapour et entrera en activité l'année prochaine.

    Bien que la firme soit connue pour son goût du secret, on peut cependant estimer à 1 milliard de dollars les ventes de Lycra en 1990. Champion incontesté, Du Pont fournit les trois quarts du marché mondial. "De toutes les fibres textiles, c'est celle qui connaît la plus forte croissance, dit Jeff Cianci, analyste chez Bear Steams, à New York. Elle nourrit grassement les profits de Du Pont : environ 150 millions de dollars sur les 400 millions de la division fibres, en 1990. " Et la tendance n'est pas à la baisse, bien au contraire: le marché mondial devrait encore connaître une croissance de l'ordre de 10 % par an au cours des deux années à venir. Il s'agit pourtant de la fibre la plus chère du monde, le " cachemire du synthétique". Une petite épice magique, comme le safran, qui rend hors de prix tout ce qu'elle touche. Un peu de Lycra, et le prix d'un collant fait un bond de 50%, celui d'une petite culotte augmente de 20%. Plus elle est fine, plus la fibre vaut cher: les "deniers" les plus fins (c'est-à-dire les fibres les plus légères), utilisés dans les collants de luxe, se paient jusqu'à 100 dollars la livre. En comparaison, la soie est donnée. Les techniciens expliqueront que le prix est justifié par une technologie de fabrication très délicate : le fil de Lycra, obtenu à partir d'une sorte de glu synthétique, doit pouvoir s'étirer de sept fois sa longueur et retrouver sa forme initiale sans perdre son élasticité. Il n'en reste pas moins que la marge nette est confortable : 15 % du chiffre d'affaires, selon les estimations de Jeff Cianci. C'est tout l'intérêt d'une position de n° 1 sur un marché en pleine expansion, où, jusqu'à ces derniers mois, la demande excédait l'offre.

    L'étonnant engouement provoqué par sa fibre, de Milan à Rio de Janeiro, Du Pont le doit à une véritable révolution culturelle interne. Sous l'impulsion de Salim Ibrahim, le département Lycra est devenu très "avant-gardiste ", en marketing comme en style de management. A 58 ans, cet Américain d'origine libanaise supervise toute l'activité Lycra dans le monde.

    La grande idée de Salim Ibrahim a été de reculer les limites traditionnelles de son rôle de fabricant de fibres. "Le Lycra est perçu comme un petit ingrédient magique par les personnes qui l'achètent", explique Michel Ladet, consultant chez Risc, un institut spécialiste des études de styles de vie qui travaille pour les états-majors européens des grandes firmes multinationales. "Du Pont a compris qu'il était possible d'enjamber les intermédiaires traditionnels du textile, pour s'adresser directement aux consommatrices." Pendant des années, le Lycra s'était développé comme n'importe quelle autre fibre synthétique: les laboratoires de développement mettaient au point des qualités adaptées à de nouveaux marchés, relayés par des filiales locales qui entretenaient des contacts étroits avec les filateurs et les tisseurs, premiers maillons de la longue chaîne du textile. Traditionnellement, la force de Du Pont reposait sur ses ingénieurs textiles, capables de conseiller leurs clients sur les marchés, de les aider, avec le concours de bureaux de style, à identifier les tendances de la mode. Un exemple: le Lycra Show, organisé chaque année à Monte-Carlo au mois de janvier, est devenu une institution. C'est le lieu où, depuis quinze ans, les fabricants de tissus de sport dévoilent leurs nouveautés. Plus de 80 exposants cette année, 3500 visiteurs, des confectionneurs de maillots de bain venus de toute l'Europe...

    Pour aller plus loin, faire du Lycra une véritable marque grand public, le chimiste américain a choisi d'établir en Europe la rampe de lancement de sa nouvelle stratégie. Lorsque Salim Ibrahim - après trente-quatre ans de carrière chez Du Pont - décide de quitter le saint des saints, sur la côte est des Etats-Unis, pour installer son quartier général en Europe, à un jet de pierre de l'aéroport international de Genève, on comprend que cela ait constitué un choc pour la "vieille dame" de la chimie. C'était en 1989. "La décision était symbolique. Il fallait marquer notre volonté de créer un business véritablement "global", explique Steven McCracken, promu directeur du Lycra en Europe au moment de la réorganisation. C'est en Europe que la mode se crée. » La division Lycra dispose maintenant d'un comité exécutif composé des cinq directeurs régionaux: Europe, Amérique du Nord, Amérique du Sud, Japon et AsiePacifique. "Le temps n'est plus aux multinationales au sens classique du terme, où les filiales locales constituaient autant de petits fiefs", poursuit Steven McCracken. Pour lui, la fibre est , universelle, au même titre que McDonald's, Coca-Cola ou, dans un univers plus proche, Giorgio Armani.

    Pour promouvoir le produit à l'échelle européenne, il fallait dépasser le cadre étroit des filières nationales de la confection. Steven McCracken s'est donc lancé dans deux directions parallèles : stimuler l'offre, en créant des liens avec les jeunes créateurs de mode les plus audacieux, susceptibles de se prendre de passion pour une nouvelle matière; stimuler la demande, en faisant découvrir la fibre au grand public, au moyen d'une campagne de publicité paneuropéenne.

    Le contrat a été signé la veille de Noël 1989, avec le bureau genevois de Saatchi & Saatchi Business Communications. La campagne serait européenne, sophistiquée et émotionnelle. Thème central : "les sensations Lycra". Toujours discret sur les chiffres, Du Pont reconnaît seulement avoir dépensé plusieurs dizaines de millions de dollars. Le résultat est surprenant de créativité lorsqu'on sait le nombre d'exigences contradictoires qu'il a fallu concilier. Une seule image pour les cinq catégories de produits (collants, prêt-à-porter, maillots de bain, lingerie et sportswear). Une seule image aussi pour l'ensemble de l'Europe, dans laquelle une Milanaise puisse se reconnaître autant qu'une Bavaroise. " Le plus difficile a été d'être à la fois original et neutre, d'être remarqué sans faire de l'ombre aux utilisateurs de la fibre, sans que la publicité évoque tel ou tel fabricant de maillots de bain ou de collants", explique Marc Angebault, responsable du budget chez Saatchi & Saatchi. Pour ces différentes raisons, le noir et blanc a été choisi, et on a pris le parti de ne montrer aucun visage. La version télé est apparue sur les écrans français en avril 1991: d'inspiration très latine, les images ont été tournées dans le sud de l'Italie, sur fond de musique de bandonéon latino-américaine. Seule la voix off diffère d'un pays à l'autre. Une publicité très étonnante pour un chimiste fayette. Encarts sur papier glacé dans les magazines de mode, vitrines: pendant trois semaines, le Lycra a été mis en avant dans le magasin. "Du Pont n'a pas inventé ce genre d'opération, précise Jean-Michel Girardin, directeur de la communication aux Galeries Lafayette. La Woolmark, une association mondiale de producteurs de laine, le pratique depuis vingt ans." Originale ou pas, l'opération a payé : les ventes de collants incorporant du Lycra ont augmenté de 75% pendant la promotion, et le total des collants vendus de 14 %. Le même type de manifestation avait eu lieu à Milan quelques mois plus tôt, avec la Rinascente. Si elles ont été possibles, c'est aussi parce que Du Pont était entré dans la deuxième phase de son plan : la publicité grand public.

    Un tel vent de nouveauté commence à ébranler les concurrents, et tout particulièrement Bayer, qui fournit 25% du marché européen. Jusqu'à présent, le chimiste allemand s'était très bien nourri des miettes laissées par Du Pont, comme les quelques autres fabricants d'Elasthanne japonais ou coréens. Des frais de marketing réduits et des prix un peu plus abordables lui permettaient de fournir les fabricants rebutés par les prix du Lycra, ou simplement victimes des ruptures de stock de l'américain, dépassé par la demande. Mais, depuis deux ans, les extensions d'usines se sont multipliées. Bayer a doublé ses capacités et vient de racheter la seule usine d'Elasthanne de l'ex-RDA, à Pirna. La réussite inattendue de la marque Lycra fait réfléchir : "Nous voulons sortir de l'anonymat", affirme Paul Marquezy, le directeur de la division Dorlastan (l'équivalent maison du Lycra) à Paris. Les Coréens, eux aussi, deviennent plus agressifs. Rançon du succès: Du Pont dépense beaucoup d'énergie à combattre la contrefaçon. Le faux Lycra — de l'Elasthanne vendu sous la marque déposée par Du Pont — fait fureur.

    A Genève, on est bien conscient du dilemme : à trop promouvoir le Lycra, le risque est grand de le banaliser. Pour être vendu cher, celui-ci doit rester rare. Jusqu'où est-il possible d'étendre le marché, d'inventer de nouvelles utilisations ? Plus encore que la concurrence, Du Pont redoute que sa fibre miracle connaisse le sort du Nylon et devienne un produit de masse, soumis aux fluctuations cycliques du textile. L'avertissement, amical, vient de Bayer: "Attention, ne tuez pas la poule aux œufs d'or.

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  • Deniers : Correspond au poids en gramme pour 9000 mètres de fibre. Ex : 20 deniers = 20 grammes pour 9000 mètres de cette fibre. Ce qui explique que plus le nombre de deniers est petit, plus le collant est fin. Les collants vont de 5 à plus de 100 deniers.

    Cette définition est vraie pour un collant constitué à 100% du même fil (polyamide par exemple pour un collant 100% polyamide) mais pas pour un collant constitué de 83% polyamide, 17% élasthanne ; pour un autre collant de 82% polyamide, 14% élasthanne et 4% coton, on ne peut pas utiliser l'appellation de deniers. Le fabricant de collant rigoureux peut préciser "aspect 20 deniers" par exemple ou ne rien écrire pour ne pas induire en erreur le client. On ne peut donc pas savoir la finesse de ces collants constitués de fils de matière différente.

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  • Opaque, en voile, en Lycra ou encore fantaisie, le collant habille vos gambettes avec style. Il garde vos jambes au chaud tout en les mettant en valeur, à condition, de bien le choisir. Suivez nos conseils pour faire de cet accessoire de lingerie un allié de votre look.

    Quel collant pour quel style ?

    Le collant féminise la silhouette ou lui apporte une touche d’originalité selon le modèle que vous choisissez.

    quel collant pour quel stylePour une allure classique, choisissez les collants assortis à la couleur de vos chaussures et à la texture de vos vêtements. Par exemple, avec une jupe grise et des chaussures noires, portez des collants noirs. Si la jupe est en tissu épais et que vous portez des chaussures décontractées, les collants peuvent être texturisés et fantaisie. Si c’est une jupe en taffetas gris et que vous portez des escarpins en satin noir, optez pour des collants voile noirs, les plus transparents possibles.

    Pour une allure plus audacieuse, jouez avec les couleurs et les textures. Ne vous limitez pas à respecter les nuances d’une couleur, essayez plutôt de marier les couleurs d’une même tonalité. Testez également les associations de textures. Si vous êtes tout en noir, recherchez des textures originales. Si votre garde-robe est dans les brun, donnez-lui du pep avec de l’orange. Après quelques essais, vous serez très vite ce qui vous va le mieux.

    Vous préférez les couleurs neutres. Restez dans cette gamme : le gris et le marron, le bleu marine et le noir, l’ivoire et le marron, etc. Avec une jupe en laine blanc cassé et des mocassins décontractés en daim marron, choisissez des collants à côtes marron.

    Pour une allure glamour avec une petite robe noire... De somptueux collants noirs en dentelle vont donner du pep à n’importe quelle robe. Les résilles de couleur pimentent une robe noire simple et restent glamour.

    Vous aimez les chaussures... originales, alors attention à ne pas choisir des collants trop fantaisies. Assortissez vos collants avec l’une des couleurs de vos chaussures. Si vous portez des escarpins, préférez des collants voile ou semi-opaques. Avec des bottes ou des chaussures compensées, misez sur les modèles opaques.

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  • Le collant est indispensable cet hiver. Il est plus qu’un simple sous-vêtement, c’est l’accessoire par excellence pour enjoliver jambes et silhouette. Cette saison il est très en vogue, on le voit partout.
    Classique, coloré ou complètement éclaté, c’est le moment rêvé de s’en procurer pour porter avec nos jupes, nos robes et même le short. Ses pouvoirs amincissants et sculptants sont prouvés, alors pourquoi s’en passer. Grâce au Lycra et aux nouvelles technologies de tissage, les collants d’aujourd’hui sont hautement performants. On peut maintenant trouver des collants qui tonifient la peau, hydratent, cachent les rondeurs indésirables, remontent les fesses et activent la circulation sanguine. De plus, la couleur, la brillance et la texture du collant sont dorénavant une question de choix; il y en a pour tous les goûts. Laissez-vous tenter. Lorsque vous magasinez vos collants, souvenez-vous que l’inscription diaphane signifie que le collant laisse transparaître la peau. Sachez que les collants de bonne qualité peuvent durer plus d’une quinzaine de lavages s’ils sont bien entretenus bien sûr.
    Saviez-vous qu’il faut 14 km de fil pour tisser un collant? Le collant filet fut longtemps une tendance pendant les années 80, on le retrouve encore au possible, de toute façon il est peu durable et n’est d’aucune utilité contre le froid. Voici quelques conseils aujourd'hui, mais on le voit très peu, sauf chez les adolescentes. À éviter autant que d’entretien pour vos collants. Premièrement, toujours les laver en eau froide; la chaleur détériore le Lycra. Il est évidemment préférable de les laver à la main et si vous le faites à la laveuse, utilisez un filet de protection pour ne pas les étirer ou faire des mailles. Je vous suggère d’utiliser un savon liquide délicat. La poudre à laver peut rester collée sur les fibres du collant. Pour ce qui est du séchage de ceux-ci, les suspendre est le meilleur truc pour les préserver beaux longtemps. Pas facile de trouver le rangement idéal pour nos collants, ils finissent dans le fond du tiroir en lambeaux. Je vous conseille donc d’utiliser des sacs de plastique de type Ziploc pour les ranger, et ainsi vous pourrez les classer par couleur ou par type plus facilement. Alors, voilà pour l’ABC du collant. Profitez de la saison froide pour le porter avec simplicité ou comme fantaisie à votre style.

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  • Un collant d'un nouveau genre a fait son entrée dans l'univers de la mode. Développé par Scalina Group, le modèle "Métamorphoso by Scala" est un collant "fashion", pouvant être porté au quotidien, qui permet aux femmes de resculpter leur corps en quelques semaines. Conçu à partir d'une fibre intégrant des cristaux de biocéramique, la fibre BIOFIR, le collant possède des propriétés anti cellulite ayant la capacité de résister aux lavages. Les cristaux de biocéramique intégrés dans le collant absorbent la chaleur du corps et renvoient des "rayons infrarouges lointains" au contact de la peau. Ce procédé permet de stimuler la circulation sanguine et d'améliorer les échanges entre les différentes cellules du corps pour drainer les toxines et agir sur la cellulite et les rondeurs localisées. Le port quotidien de "Métamorphoso by Scala" pourrait ainsi amincir la silhouette et améliorer l'aspect de la peau en une soixantaine de jours. Les fashionistas pourront porter ce modèle en collant dentelle, en leggings, en corsaire ou en shorty. Imaginé avec un tricotage sans coutures, le "Métamorphoso by Scala" dispose également d'un gousset en coton pour un plus grand confort. Le collant est uniquement disponible en noir dans les catalogues de La Redoute et des 3 Suisses, mais également sur M6 Boutique et sur le site internet d'Ipanema Europe.

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