• le premier collant « zéro déchets »

    Bientôt mesdames, vous pourrez ramener votre collant filé ou abîmé en magasin. Non pas pour vous le faire rembourser mais afin qu’il soit recyclé. Tel de vulgaires piles usagées.

    « Symbiose ». C’est le nom de ce nouveau collant bio sur lequel travaille Dim. «  On est en train de balayer toutes les pistes permettant de récupérer le collant usagé et de retravailler sa fibre afin de refaire un fil ayant les mêmes qualités que l’original », précise un responsable du projet. Pour confectionner ce collant « zéro déchets », dont la mise en rayon ne se fera pas avant trois ans, Dim planche sur une fibre reconstituée que « l’on pourrait retravailler, ou alors qui servirait de nutriment biologique utilisable comme engrais ».

    Aujourd’hui, un kilo de collants égale 4 kilos de pétrole. Autant de déchets non-biodégradable, autre piste envisagée chez le fabricant français : « On pourrait aussi créer un collant biodégradable comme certains vêtements déjà existants », détaille un partenaire du projet. Lequel, cofinancé par l’Ademe, l’Agence de l’environnement, coûte 260.000 euros. Le prix à payer pour des jambes vertes.

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  • Confectionnés au départ à partir du polyamide ou nylon comme pour les bas, les collants se déclinèrent au fil des avancées technologiques sous des matériaux de plus en plus élaborés et particulièrement confortables, comme l'élasthanne, d'abord plus connu sous la marque « lycra » ou encore le tactel, la microfibre ou enfin la soie animale. Très appréciés dans le secteur de la mode en général, les collants accompagneront les prémices de la révolution sexuelle en Europe et en Occident en ayant permis le port massif de la minijupe.

    Sur le plan technique, il faut savoir qu'il nécessite en moyenne près de 14 kilomètres de fils pour la confection d'une paire de collants. Par ailleurs, un système d'échelle de valeur a été mis au point par les professionnels du collant pour évaluer arithmétiquement la finesse des bas. C'est le deniers. Classés sur une échelle de 8 à 100 deniers, il faut retenir que les collants les plus fins sont ceux dont les deniers sont les plus petits. Aujourd'hui, outre le secteur de la mode, les collants connaissent un succès dans divers autres domaines comme celui de la médecine où ce vêtement est utilisé par les professionnels du monde médical pour soulager diverses pathologies du type jambes lourdes. Le collant est également employé chez les professionnels du sports à diverses finalités. Il peut ainsi servir à masser les muscles ou à maintenir la température ambiante...

    Enfin, malgré le fait que cet effet vestimentaire soit largement associé au fétichisme et à la séduction au féminin, il n'en demeure pas moins qu'aujourd'hui, comme par le passé, il existe des collants pour homme qui connaissent énormément du succès, notamment dans les pays asiatiques comme le Japon où son port n'évoque aucun préjugé particulier en rapport avec la sexualité comme c'est malheureusement le cas en Occident. Là-bas, le collant est un vêtement particulièrement utile, notamment en hiver. Il se laisse porter sans complexe en public. Notons enfin que pour se protéger des nuées de puces de sable infestant le désert irakien, les GI's américains eux-aussi se sont mis au collant !

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  • Dans mes recherches à vous trouver des infos et des trucs insolites j’apprend une nouvelle forme d’agression, il s’agit du Panty Pulling de "pantî"en japonais qui signifie "culotte" abreviation de "pantî sutokingu" (les collants) et de « pulling » (tirer) soit Tirer sur la culotte (ou les collants). Cette pratique viendrait tout droit du Japon elle sévit déjà sur la côte ouest des Etats Unis, La Grande-Bretagne plaque tournante va surement l'adopter très vite et finir, comme toute les idées foireuses et débiles, atterir chez une bande de crétin de France et vont se délecter à la propager dans tout l'hexagone...Mesdames assurez vos arrières.

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  • Je ne pouvais pas résister en voyant des collants quand je les ai vus dans le magasin. Ils sont enrichis avec de l'acide aminé et la vitamine C. Le soir venu j'ai glissé ces collants le long de mes jambes pour aller dîner en ville. Est-ce que je me sens super active ? non, cependant les boissons que j'ai bu pendant le dîner ont pas fait de degat pour ma tête. Peut-être la vitamine C, l'acide aminé est un catalyseur d'alcool.

    Je me suis demandé si ces collants spéciaux me donneraient une super-acitvité, mais mes jambes semblent être sans changements. Le paquet prouve que vous pouvez les laver et les vitamines restent sur le collant parce qu'elles sont « pro vitamines». Il y a plusieurs gammes de collants certains sont enrichis avec les vitamines spécifiques, d'autres prétendent vous donner la relaxation ou de la performance ou encore la capacité d'obtenir des jambes sans fatigue après une journée difficile au travail. Tous les employés de bureau féminins sont visés. Je me demande si nous verrons bientôt un produit équivalent pour les hommes ? Peut-être un slips kangourou à la vitamine C.

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  • Ce produit pourrait être commercialisé d'ici trois ans imaginé par Dim à Autun

    Faire du collant une matière biodégradable ou recyclable : c'est le nouveau projet actuellement en cours dans les laboratoires de Dim à Autun.

    Créer un collant « écolo » : il suffisait d'y penser et la tendance actuelle de la mode bio fait fureur. Dim s'est emparé de l'idée. La célèbre marque de bas et collants travaille en effet depuis un an sur un projet de collant « écoconçu », entendez par là un produit dont les matières premières seraient naturelles et qui pourrait ensuite être biodégradable ou recyclable.

    Tout se transforme;

    Ce projet s'inspire du concept « cradle to cradle » - du berceau au berceau en anglais -, imaginé par l'architecte américain William Mc Donough et le chimiste allemand Michael Braungar, spécialiste du cycle de vie des produits. « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » : le concept défend l'idée d'une consommation intelligente, fondée sur la réutilisation permanente des matières et des objets.

    Pour lancer le projet de collant écoconçu, l'entreprise autunoise Dim a obtenu le soutien de l'ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) à hauteur de 50 % pour un budget de 260 000 euros. « Nous avons lancé les recherches dans nos laboratoires il y a un an, explique François Lecointe, directeur de projet chez Dim. Dans un premier temps, nous avons fait le bilan des composants d'un collant, dans l'optique de les réutiliser. »

    Le collant Dim classique est fabriqué avec du polyamide 6.6 (plastique dérivé du pétrole) et de l'élasthanne, des matières premières non recyclables.

    Pour produire un collant sans emballage, il faut l'équilvalent de 10 kilos de pétrole, en comptant le transport, l'énergie nécessaire au fonctionnement des machines, etc...

    « Actuellement, nous sommes à la recherche de fils et matériaux pour l'emballage qui pourraient être biodégradables ou recyclables, sans perdre en qualité », ajoute François Lecointe.

    Toutes les matières premières qui se prêtent au recyclage sont passées en revue, notamment l'aluminium. « Nous sélectionnerons ensuite les pistes les plus réalistes. Peut-être devra-t-on adapter nos techniques actuelles de production, changer certaines machines, » confie le directeur du projet.

    Une démarche écoresponsable;

    Deux solutions sont envisagées pour l'avenir de ce collant : soit il sera biodégradable et une fois le produit usagé, la cliente pourra le jeter au compost ; soit il sera recyclable et dans ce cas, Dim envisage d'organiser un système de récupération du produit pour le décomposer et le refabriquer à partir des matières premières existantes.

    Le challenge pour Dim est de fabriquer un collant qui ait les mêmes propriétés que celui vendu actuellement en magasin : « il faut qu'il soit aussi confortable et élégant que maintenant, mais composé de matériaux différents », souligne François Lecointe. Si le projet est mené à bien, ce collant écoconçu devrait être commercialisé d'ici trois ans.

    Et le prix dans tout ça ?;

    C'est également un élément déterminant dans ce projet : « il ne faudrait pas qu'il soit excessivement cher, mais au stade actuel de nos recherches, il est impossible d'avancer une fourchette de prix », confie François Lecointe. L'enjeu est évidemment de limiter les coûts de ce futur produit et de sensibiliser la cliente à la démarche écoresponsable qu'entend jouer demain l'industriel Dim.

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  • L’industrie japonaise du collant connaît une grave crise. Ventes en perte de vitesse, désaffection généralisée de la part des gambettes nipponnes. A ce rythme là, il n’y aura plus que les cambrioleurs à utiliser des bas… comme masque bien entendu. Heureusement, deux top-modèles japonais ont décidé de sauver le collant. La fédération japonaise des fabricants de chaussettes et de bas vient de tirer la sonnette d’alarme. Il y a dix ans, c’étaient 700 millions de paires de collants qui sortaient, chaque année, des usines nipponnes. En 2005, les producteurs locaux n’ont tissé que 200 millions de paires. 2006 devrait confirmer cette baisse de 70% en une décennie. De la même manière, 1989, année de tous les records pour l’industrie, cette année-là, les petits bouts de nylon avaient représenté un marché de plus d’un milliard de yen ( 10 millions d’euros), pour ne plus être qu’un cinquième quinze ans plus tard.

    Enfin, les producteurs japonais, qui étaient il y a peu encore plus d’une cinquantaine, ne sont plus que vingt à officier. La faute à qui ? Bien entendu, les importations massives venues de Chine ont fortement touché la production nippone, mais pas seulement. Les professionnels du secteurs avancent une autre raison : la mode. Depuis le début des années 90, les collégiennes et les lycéennes ont pris l’habitude de ne jamais porter de collants. Elles portent souvent de longues chaussettes (Loose-sock). Devenues adultes, elles conservent cette habitude d'aller jambes nues, sonnant le glas des collants.

    Dans leur esprit, le collant est définitivement associé à leur mère ou à de vielles secrétaires. Autre facteur de mode, les pantalons tailles basses. Leur tendance à dévoiler nombrils et bas du dos n’incitent pas à porter des collants. Aucune des ces jeunes filles n’a envie de paraître sexy jusqu'à ce que s’affiche le gros élastique de ceinture typique des collants. Et un professionnel de déplorer que « cacher leur jambes est une chose qui ne les effleure même pas ! ». Mais les mentalités pourraient bientôt changer. Au mois de décembre dernier, deux starlettes, Yuri Ebihara et Moe Oshikiri, grandes prescriptrices de mode, ont lancé leur propre marque de collant. Elégamment baptisé f*ing motesto, la ligne propose une palette de collants unis mais rehaussés de strass et de petits dessins dans l’air du temps. Le succès a été immédiat, tous les magasins se sont retrouvés en rupture de stock en un rien de temps. La nouvelle collection des deux comparses, prévue pour le mois de mars, est attendue avec impatience par des millions de guiboles japonaises. L’industrie du collant reporte donc tous ses espoirs sur ce retour en grâce du bas nylon, jusqu'au printemps au moins…

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  • Alors c’est certain, la vraie question problématique du moment, côté collants, c’est la couleur. Comment la choisir et surtout, une fois que l’on sait ce qu’on veut, la trouver. Moi, perso, j’ai un peu jeté l’éponge et je me contenterai de remercier la divine providence, si, au gré de mes pérégrinations (plutôt rares en ce moment, à vrai dire) je trouve enfin mon bonheur. Bref. Je ne vais pas tenter de minimiser ce grave problème hivernal de la bonne couleur de collant, à côté duquel, il est vrai, les grèves font figure de gentille blagounette, mais ce n’est malheureusement pas la seule difficulté de laquelle il faille triompher lorsque, comme moi, on est abonnée permanente au trio jupe/robe/short.

    J’attire, par exemple, votre attention sur la question financière. Tenez, saviez-vous que mon budget collants avoisine les *** euros par an? Il est nettement plus économique, je peux vous dire, de s’offrir une belle paire de Louboutin et de se contenter de porter des jeans!

    Je passe sur la nécessité de vivre en fonction de ses collants (faire gaffe au velcro qui ferme mon parapluie, à celui du voisin dans le métro, ne pas croiser les jambes sous une table en bois pour cause de risque aigu d’échardes, éviter les bagues griffues, avoir les ongles impeccablement limés…). Et de trimballer avec soi, en permanence, une paire de rechange vu que ces machins sont fragiles comme du papier Bible.

    Fragiles, en général. Parce que parfois, ce n’est pas le cas. Ledit collant résiste à à peu près n’importe quoi, mais le hic, c’est qu’il ressemble fort, le bougre à des bas de contention: 3 mm d’épaisseur, maille bizarre, affreux plis au niveau des genoux. C’est, de loin, celui qu’on déteste le plus car, justement, il ne s’use jamais. On finit toujours pas se rabattre sur lui lorsque, merdouille, tous les autres sont au fond du panier à linge. Ou, plus simplement, morts de leur belle mort: un grand trou au niveau des orteils.

    Je passe aussi sur la difficulté à trouver le collant adéquat. Un collant noir et basta, dites-vous ? Ben voyons… C’est là qu’entrent en jeu ces histoires de deniers. Personne ne sait, au juste à quoi ça correspond, si ce n’est que plus il y en a, des deniers, plus le collant est épais et opaque. Le tout est de trouver le mix idéal entre collant opaque et bas de contention. Mais si ce n’était que ça… Encore faut-il aussi trouver le degré de brillance idéal et l’opacité parfaite (opaque mais pas à 100%, pour ce qui est du crû « hiver 2007-2008 » en tout cas). Le genre de quête qui, à elle seule, peut vous prendre des semaines de recherches.

    Non, là où le bas blesse* vraiment, c’est cette histoire de ceinture à la taille. Quelqu’un peut-il m’expliquer pourquoi 99% des collants sont pourvus d’une ceinture à taille haute, qui arrive généralement sans effort jusque sous la poitrine avant de roulotter de la façon la plus élégante qui soit dès que l’on s’assoit… pour finir par nous cisailler douloureusement la taille ? Ce n’est pas comme si le collant taille basse qui ne fait pas de démarcation n’existait pas, en plus: ils savent maintenant très bien faire ça. H&M en proposait de tout à fait sortables l’an passé et pour vraiment pas cher mais impossible de mettre la main dessus cette année.

    Justement, j’en viens à l’objet de ce billet (il était temps, oui). Après de multiples recherches plus ou moins satisfaisantes (plutôt moins, à dire vrai) je suis enfin tombée, avant hier, sur le collant parfait. Edendim, ça s’appelle. Taille basse mais pas trop, zéro démarcation même sous haut moulant et après une ventrée de couscous (testé !). Confort, opacité idéale (70%, je dirais), brillance quasi-inexistante et résistance plutôt correcte (a survécu, presque sans dommage, au velcro du parapluie). La version opaque n’existe qu’en noir et le collant coûte un orteil (quelque chose comme 7 euros, je crois). Mais il EXISTE et à en juger par le temps que j’ai mis à le trouver, croyez-moi, c’est déjà pas si mal !

    * Oui, je c’est ce n’est pas “le bas” mais “le bât”, mais je ne pouvais pas résister au jeu de mots. J’avais même pensé à pousser jusqu’à “le bas file”. Mais en même temps, trop de jeu de mots tue le jeu de mots, c’est bien connu…

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  • Objectif : vérifier que non, les hommes ne sont plus de gros machos tout gras prêts à sauter sur le moindre bout de jambe. Stratégie : mini-jupe écossaise portée du côté de Bastille. 15 minutes d'exposition et plus si affinités. Points forts : impression d'être soudainement devenue canon. Possibilité d'entretenir son exhibitionnisme pour des raisons professionnelle. Excuse parfaite pour poser en culotte sur ce blog. Personne ne m'a demandé mes tarifs (choix judicieux du quartier). Points faibles : impression d'insécurité. Regards franchement louches de la part des nanas. Une fois encore, constatation que je plais surtout aux éboueurs (un jour je raconterai la longue histoire qui me lie aux éboueurs de Paris... peut-être qu'en échange, ils me diront pourquoi je leur plais tant). Drague moisie. Drague très très moisie. Mecs qui vous klaxonnent dans les rues. Bras d'honneur en réponse. Non mais les connards ! Bilan : cette après-midi, ce sera pantalon. Désolée les gars, mais il semble que la majorité d'entre vous ne soit pas encore prête à assumer des filles sexy dans les rues. Annotation complémentaire : y'a des gens dans Paris, ils parlent en sms. Hé m'oiselle!

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  • Non, porter des collants n’est plus ringard ! Avec 320M€ de CA, le marché du collant augmente de +0,4% par rapport à 2007 (source : Nielsen). Un timide sursaut mais qui semble être promis à un bel avenir.Levier phare, la tendance mode est un allié incontournable. Le grand retour de la jupe courte est en effet une aubaine pour le chaussant. La presse met sur le devant de la scène de plus en plus de modèles portant des legging, collant « sans pied », ce qui ne laisse pas indifférente la jeune génération.

    L’effort a aussi été porté sur l’innovation. Les produits sont plus attractifs, alliant à la fois confort et esthétique. Aussi Well a-t-il pu séduire sa clientèle avec ses collants « Perfecteur de peau » qui atténue les imperfections. Les fabricants prennent en compte les évolutions morphologiques. On pourra citer Dim qui a supprimé sa taille 1 et Chesterfield qui a introduit une taille 6 avec un discours spécifique pour les grandes tailles.

    Enfin, les fabricants ont aussi travaillé sur leur packaging. L’essentiel du marché français étant fait en GMS, il était un facteur non négligeable pour les marques qui souhaitaient se démarquer, être percutantes et surtout visibles. Sur ce point, Dim a innové avec ses minis CD (boîtes plates) destinées aux sacs à main pour des collants de « dépannages ».

    Le marché des collants a encore de beaux jours devant lui.

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  • Tu sais ceux que t’achètes confiante et innocente dans ta taille et ta marque habituelle sans te douter du drame qui va se jouer toute la journée la première fois que tu les porteras.

    Mais oui, tu sais bien, quand tu tombes de temps en temps sur la paire de collants qui a un défaut de fabrication et est taillée bien plus large que la taille notée sur la boîte.

    Un matin tu les mets pour aller bosser et sur le trajet entre chez toi et le boulot tu te rends compte que cette foutue paire de collants commence à glisser lentement mais sûrement.

    Tu fais les derniers mètres qui te séparent encore du bureau en marchant comme si tu avais un balai dans le booty de peur que ton fond de collant finisse par atterrir au niveau de tes genoux.

    Ensuite, comme tu n’es pas aussi classe que moi et que t’as fait l’erreur suprême de ne pas prévoir de collants de rechange dans ton sac à main, t’es obligée de passer la journée à marcher le moins possible, quand tu n’as pas le choix à marcher comme une constipée et à adopter des techniques de sioux afin de pouvoir remonter tes collants rapidement et discrètement.

    Ouai, tu vois, c’est vraiment pas une vie !

    Alors voici mes astuces pour éviter ça car y’en a deux :

    - déjà, t’es gentille mais une vraie femme se doit de toujours avoir des collants de rechange dans son sac à main, car si tu files tes collants, comment tu fais le reste de la journée ?

    Tu te ballades comme ça telle une va-nu pied avec ton collant filé au vu et au su de tous ?

    Plutôt crever la gueule ouverte, j’ai envie de te dire !

    Alors quand tu es prise au dépourvu le matin en allant au boulot par des collants traîtres qui glissent dangereusement de ton entrejambe alors que normalement ils devraient pas, ben dès que t’arrive au boulot, tu fonces aux toilettes pour les changer (en espérant que ta paire de rechange n’ai pas le même défaut car là ce serait vraiment la poisse).

    Dois-je préciser que la paire de rechange doit absolument être neuve ?

    Oui je dois apparemment car je te ferais remarquer que si ta paire de rechange n’est pas neuve et a déjà été portée ben c’est nul car qui dit collants déjà portés, dit collants déjà fragilisés par le portage donc plus susceptibles de filer, ce qui annulerait bêtement l’intérêt de trimballer une paire de rechange.

    - enfin et c’est là qu’on parle d’une vraie astuce, une fois que t’as eu ta mésaventure avec tes collants glisseurs, surtout ne les jette pas d’un geste rageur en rentrant à la maison le soir, non ne fais pas ça, car pense un peu à l’environnement que diable !

    Si tes collants ne sont pas filés, aucune raison que tu les jettes.

    Non tu vas plutôt me faire le plaisir de les porter la prochaine fois avec une culotte par-dessus.

    Je m’explique.

    Tu ne fais surtout pas la crado à mettre tes collants à nu, puis une culotte par-dessus.

    Ben non, c’est dégueulasse ma bonne dame.

    Tu vas plutôt mettre une culotte, tes collants puis une deuxième culotte anti-glissage de collants qu’on pourrait donc appeler culotte anti-dérapante !

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