• La quasi-totalité des femmes portent régulièrement des collants, mais mettent une culotte dessous !

    Pourtant, quand on y regarde de près, le collant est conçu pour remplacer les bas ET la culotte. En effet :

    Rien de plus laid et de moins sexy que l'image de la culotte recouverte par le collant. C'est sans doute ce qui donne au collant la réputation injustifié d'accessoire peu sympathique, au contraire des bas. Un beau collant sans démarcation permet une continuité parfaite de la cheville à la ceinture, continuité réduite à néant par la culotte; Avec un vêtement serré, la forme des culottes est trop souvent visible; Regardez les publicités et les emballages de collant : vous n'apercevrez jamais de culotte !

    Savez vous que :

    Si en France, les femmes mettent très rarement les collants à même la peau, c'est plus courant au États-Unis.

    Les collants de milieu et de haut de gamme (et aux USA, pratiquement tous les collants) comprennent une petite pièce de coton (ou parfois de soie) de forme ovale, à l'entrejambe. Cela permet au collant de jouer parfaitement le rôle de sous-vêtement, à la fois pour l'hygiène et pour masquer l'intimité féminine.

    On appelle collant sans démarcation les collants dont la texture à une apparence uniforme de la cheville à la ceinture. Ce sont les plus beau.

    Une fois l'habitude prise, c'est en général beaucoup plus confortable.

    Les hommes n'y sont pas du tout insensible !

    Au Québec, ce que l'on appelle collants en France s'appelle Bas-Culotte. La terminologie montrant bien le double emploi d'un slip supplémentaire, il serait intéressant de savoir si les habitudes sont sifférentes la-bas.

    Forcément, les premières fois que vous porterez vos collants sans culotte, vous aurez une impression un peu étrange au début. Mais ce n'est qu'une question d'habitude (comme les premières fois ou on met un string). Quelques conseils :

    Assurez que vos collants comportent bien un gousset. Je vous conseille pour cela d'acheter des collants plutôt haut de gamme. En plus, ils seront plus solide et se conserveront plus longtemps (ce qui rentabilise la différence de prix). J'ai personnellement une préférence pour les Wolford : il ont tous un gousset, sont très solide et très beau ; l'accueil est toujours irréprochable dans les boutiques. D'ailleurs, toutes les vendeuses à qui j'ai posé la question m'ont indiqué que tous leurs collant peuvent se porter sans culotte, comme le fait une part important de leurs clientes.

    Au tout début, pour que la transition ne soit pas trop brutale, porter des collants slippé, avec une "culotte renforcé" intégrée au collant (comme Le 9 de Wolford, voire même le SensWell de Well). Ils sont beaucoup moins beau que ceux sans démarcation, mais permettent de s'habituer progressivement à la différence de sensation.

    N'hésitez pas à demander conseil à une vendeuse spécialisée dans les collants (boutique Wolford, collanterie, rayon collant des très grands magasins). Attention : dans les toutes petites boutiques de lingerie ou les collants ne représentequ'une toute petite partie des ventes, on ne vous conseillera pas vraiment sur ce sujet.

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  • Ils galbaient déjà les mollets des filles et leur permettaient d'afficher leurs jolies gambettes même en hiver... Voilà que les collants s'invitent dans les garde-robes de ces messieurs. Ils tiennent chaud, proposent des motifs et des couleurs variés et se portent avec des shorts (ou même des jupes pour les plus audacieux) et connaissent un succès grandissant en Angleterre. Les magasins Selfridges de Londres ont d'ailleurs ouvert un rayon "collants" spécialement pour les hommes. Comme ceux dédiés aux femmes, les collants pour hommes servent aussi à affiner la taille (pour camoufler les petits bedons), mais les accros aux dernières tendances "fashion" les portent surtout pour donner un petit plus à leur tenue. Voilà qui devrait titiller les sens des métrosexuels. Pour les mâles qui voudraient crier au scandale, il est important de rappeler que les collants ont longtemps été portés par les hommes. Ils ont été abandonnés il y a deux siècles au profit des pantalons. Ils reviennent donc simplement sur le devant de la scène. Les fans voudraient en faire un accessoire de mode de base mais il faudra sûrement du temps pour réintégrer les bas collants dans les tiroirs des messieurs.

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  • Ils sont forts les chinois. Non contents de nourrir, habiller et équiper la planète entière, voilà qu'ils remettent en cause mes valeurs et brouillent mes repères. Jusqu'ici les femmes portaient des collants, des leggings les jours de grand froid et des bas autofixants les jours de paie. Et puis je suis tombée sur ça : des collants comme que je ne les aurais jamais imaginés, à savoir jambe par jambe. C'est difficile à expliquer alors observons plutôt le visuel de présentation :

    Un collant pour chaque jambe, ou l'asymétrie enfin rendue possible. On nous dit que c'est plus hygiénique, plus confortable, plus pratique et qu'ainsi designés, les collants s'accorderaient mieux avec les points d'acuponcture des femmes. Ca peut faire sourire mais si c'est plus confortable à la taille, que ca évite les long strip-teases au toilettes et le sacrifice de chaque paire dès qu'un accro (et un seul) pointe le bout de son nez, c'est peut-être une bonne idée…

    Ne travaillant pas au service marketing ou développement des marques Dim ou Gerbe, j'arrête ma réflexion ici et j'invite toutes les utilisatrices de bas et collants (utilisateurs de l'ombre s'abstenir) à débattre du sujet sur ce post ! Y'en a-t-il qui utilisent des collants sans entre-jambes ? Cela plaît-il vraiment aux hommes ? Qui est pour le collant « uni-jambe » et les effets de style qu'il pourrait permettre ? Les chinois nous ont-il fait une blague ?

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  • Les collants colorés, c'est tendance. Ca donne du style et ça égaye un look pour quelques euros, seulement voilà, c'est parfois difficile de choisir entre le jaune moutarde, le rouge vif, le bleu électrique ou l'Orange Mécanique. Moi même, je réfléchis depuis 2 ans, et je ne trouve toujours pas LA couleur qui m'ira. Voilà donc peut-être la solution : les bas dépareillés ou les collants bicolores. Tu hésites entre deux tons ? Pourquoi ne pas prendre les deux ! La voilà la solution ! Bon techniquement c'est un peu difficile à mettre en pratique (que faire de la jambe en trop) mais oser les collants dépareillée, ça c'est la classe ! Et toi, oserais-tu une jambe rose, un autre verte pour aller en soirée ?

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  • Ah, l’angoisse du collant filé… elle frappe toutes les femmes… Pire, nous avons toutes connu au moins une fois le terrible événement. Or, véritable tue-l’amour, le collant filé peut à lui seul “flinguer” une jolie tenue…

    Comment ne plus craindre le collant filé?

    Pour mettre fin à la malédiction du collant filé

    Ne sortez jamais sans votre vernis

    C’est la recette miracle. Une goutte de vernis (transparent s’il-vous-plait) sur l’endroit du crime (là où le collant est filé) empêchera au trou de davantage s’agrandir… Ouf.

    Faites comme si vous n’aviez rien vu

    Vous l’avez compris, une fois que le mal est fait, il est impossible de le réparer (sauf à stopper l’hémorragie - cf étape 1)… Alors tout va se jouer dans l’attitude… Alors inutile de crier haut et fort dans la rue “Oh my god my collant is filé.”… ça ne le fera pas revenir. Survivez-lui en gardant un port de tête de princesse et la démarche chaloupante.

    Cherchez un endroit retranché

    Cette étape ne vaut que pour les demoiselles bien entretenues et qui soignent leur épilation. L’avantage, c’est que ni une ni deux, vous pouvez ôter le collant agonisant, le mettre à la poubelle… et exhiber vos jolies guiboles.

    Retournez-le

    Si ça vous gêne vraiment de voir que votre collant est juste filé sur le haut de votre cuisse, vous pouvez toujours vous cacher, l’enlever et le retourner… Le collant ne sera plus filé que derrière votre cuisse… Donc vous ne le verrez plus et les passants qui vous arrivent de face ne feront plus les grands yeux en vous regardant… (ce qui se passe dans votre dos, par contre, c’est une autre affaire.)

    Moralité : soyez prévoyante

    La moralité de toute cette histoire, jeunes fashionistas, c’est qu’il faut toujours que vous ayez un collant vierge dans votre sac. Ca vous évitera bien des misères et en un claquement de doigt, vous pourrez retrouver une apparence élégante.

    Astuces et avertissements

    Collants, oui, mais pas sans épilation

    Mettre des collants ne veut pas dire oublier l’épilation. N’enfilez pas de collant sans vous être au préalable épilée. Ca vous évitera bien des déconvenues…

    Pas de panique

    Quoi qu’il arrive, dites-vous bien que toutes les femmes connaissent un jour ce genre d’incident. Le tout c’est de savoir l’affronter. Ne laissez pas ce collant filé égratigner votre dignité.

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  • Les stylistes se sont passé le mot, cet hiver nous montrons nos mollets sous toutes les coutures ! Carreau, rayure, léopard ou dégradé arc en ciel, le collant est coordonné à notre tenue, et nous illumine de par ses mailles vitaminées.

    En bonne fifille à sa maman, notre choix de collant s’arrêtait jusqu’alors au transparent noir ou au transparent chair, un duo qui soit dit en passant, relève plus de la conformité que d’un choix bien assumé. Cet hiver, les podiums nous mitraillent de collants à tonalités prononcées, à motifs exubérants, que l’on coordonne, comme chez D&G, à une robe à carreaux ultra vintage.

    Prolongement de la tenue, le collant n’est désormais plus là pour camoufler nos gambettes jugées trop grasses, trop petites, ou trop blanches, mais bien pour les mettre en évidence, et en faire un accessoire fashion à souhait.

    Une tendance qui se confirme

    Ayant pointé leur nez dans les défilés de Nicolas Ghesquière (Balenciaga) et Matthew Williamson (Pucci) l’année passée, les collants fluo et rigolos sont devenus cet hiver des indispensables de la garde robe. De Chanel à DKNY en passant par Sonia Rykiel, pas une griffe ne loupe l’occasion de brandir des paires de mollets enrobées de lycra pétillant.

    Du collant sans fil

    Avis aux amatrices du destroy chic, Alexander Wang propose sa propre version du collant hivernal, avec, en guise de déco, des trous sur la cuisse. Pas de quoi tenir chaud, mais un exemple à reproduire facilement chez soi ! De plus, vous saurez aujourd’hui qu’il n’y a plus de quoi raser les murs lorsque vous filez votre collant...c’est même un chic ultime.

    Au fluo électro

    Enfin, pour celles qui n’apprécieraient pas les motifs, sachez que la tendance est également au flashy. Dolce & Gabbana n’hésite pas à associer un collant rose fluo sans pied à une veste de tailleur orange acidulé. Donna Karan préfère marier un ciré sexy à souhait à un collant juvénile, violet flashy. Alors entre la touche électro, et les total looks, rappelez vous que la meilleure façon d’adopter la tendance hivernale, est de vous référer à votre sens de l’humour ! Cet hiver, le collant déridera les tenues les plus strictes, et surtout, fera parler votre âme d’artiste.

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  • Qui ne se souvient pas de la fameuse boîte renfermant un collant roulé en boule ? Lancée comme un pavé dans la mode en 1968, elle revient à la charge en format XL et en Technicolor. Pa pa pa pa pa pa…

    Alors que l’on s’apprêtait à ressortir nos leggings passe-muraille pour le troisième hiver consécutif, voilà que déboulent huit paires de jambes bleues, vert menthe, rose indien, citron, violettes, rouge vif, et tout de même grises et noires. Merci Dim, qui renoue cet automne avec sa saga du collant et surtout celle de son packaging fétiche, le cube, agrandi pour l’occasion.

    L’histoire, finalement, n’a pas changé : mettre un peu de fun dans les garde-robes, oser la couleur, justement brandie comme un remède antimorosité sur les podiums cet hiver à coup d’orange, de rouge, de kaki ou de bleu électrique.

    Dans la foulée, Dim s’est associée au chausseur Minelli et a conçu les teintes de ses collants en fonction de celles des souliers de la marque. C’est malin comme tout, ça permet de jouer l’alternance dans un vestiaire de basiques sans se ruiner, bref, c’est un bon manifeste de mode comme on les aime.

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  • Le collant, c’est polluant. On sait que la fabrication d’1kg de fibre de collant nécessite 4 kilos d’équivalent pétrole. Les marques commencent enfin à réfléchir à des alternatives.

     

    Comme on ramène ses piles, ses batteries et autres téléphones portables usagés dans les collecteurs des grands magasins, on pourra bientôt rapporter nos vieux collants filés afin qu’ils soient recyclés et réintroduits en rayon.

    La Recherche & Développement de Dim est actuellement en train de travailler sur un projet de «collant zéro déchets» : le «Symbiose».

    Pour l’être avec la nature.

    Le but est de retravailler la fibre actuellement utilisée afin de pouvoir récupérer le produit et de refaire un fil qui aurait les mêmes qualités que l’original. Il est pour le moment impossible de reconstituer un collant à partir du modèle de base, et ce à cause des propriétés des matières utilisées (polyamide et élastane). La recherche tente donc de trouver une fibre qui soit quant à elle recyclable et réutilisable.

    Ce projet, dont les frais s’élèvent tout de même à 260 000 euros, est cofinancé par l’ADEME, l’agence de l’environnement. La commercialisation n’est en revanche pas prévue avant 3 ans. La marque affirme qu’il ne devrait pas être plus cher qu’un collant classique. Qui vivra verra.

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  • Sous l'impulsion de nombreux créateurs, les collants sont en passe de devenir un accessoire de mode à part entière. Ultra féminins ou warmy chic, ces derniers sont en effet de tous les looks, du néo parisien au preppy. Et si modèles opaques et transparents ont encore droit de cité sur les gambettes des citadines, seuls ceux faisant preuve d'un peu d'audace recevront l'aval des fashion gourous...

    Le dress code préconisé par Emmanuelle Alt dans le Vogue de juin/juillet - à savoir associer une paire de collants à ses looks printaniers - a beau ne pas avoir fait beaucoup d'émules parmi les modeuses, il en ira bien autrement à la rentrée. En effet, dès le mois de septembre, les collants devront devenir l'allié ultime de la silhouette afin de conférer à celle-ci un joli twist up-to-date. Dans l'univers de l'élasthanne tendance, on retiendra alors deux écoles, les semi-transparents fantaisie et les opaques texturés, au sein desquels il sera judicieux de piocher quelques modèles.

    Au travers de l'esprit boudoir du moment (remettant au goût du jour satin drapé et fine dentelle), les collants flirtent avec le thème de la lingerie, se faisant plus féminins et sophistiqués que jamais. Balenciaga ouvre le bal, avec ses bourgeoises chicissimes qui, en ayant soupé du futurisme, s'immergent dans une déferlante de pièces néo-classiques et ultra précieuses. Jetant leur dévolu sur de délicats collants en plumetis, elles confèrent à leurs atours hautement sophistiqués une touche de légèreté fragile des plus pertinentes.

    Parti pris plus marqué chez Christian Lacroix qui, osant les collants en dentelle, offre à ces derniers un rôle phare dans la composition de la silhouette. On retient que plus les collants sont glamour et graphiques, plus il faudra alléger le reste de la tenue afin de ne pas "vampiriser" celle-ci. On les mixera alors à des pièces sobres, masculines et racées, de manière à temporiser la sexyness inhérente à la dentelle.

    Attention cependant - sous prétexte que le collant fantaisie flotte dans l'air du temps - à ne pas shopper des modèles très Buren touch' (Erin Fetherston) ou surfant sur les réminiscences léopard. En effet, ceux-ci risquent fort de marginaliser le look de celles qui s'y adonneront.

    Les collants

    Plus faciles à vivre que leurs homologues en voile, les collants opaques jouent cette saison la carte de la cosyness racée. Et s'il est permis d'en porter des noirs intenses afin de pallier l'excès de couleurs de certaines tenues 80's ultra flashy, on préféra miser sur des modèles un rien moins conformistes.

    Dès lors, on apprécie la variation opérée par Karl Lagerfeld (Chanel) autour du collant blanc. Car si celui-ci est loin d'être évident à porter lorsqu'il se décline en élasthanne, il gagne quelques galons fashion lorsqu'il se voit tissé en laine duveteuse. On l'imagine alors fort bien réchauffer quelques-unes des mignardises russes imaginées par Antonio Marras ou remplacer les leggings au coeur des accumulations warmy signées Missoni.

    Frais, simples et joyful, les collants colorés de chez Marc By Marc Jacobs agrémentent quant à eux des looks hivernaux que la jeunesse new-yorkaise devrait adorer. Entre Gossip girl et inspirations sixties, ce genre de tenues est en effet appelé à être reproduit à l'infini, tant elles parviennent à allier pragmatisme et style.

    Plus conceptuels, les collants ton sur ton gris couvrant chastement le bas de la silhouette (Yves Saint Laurent) sont exclusivement réservés à celles qui sauront insuffler une aura sulfureuse à une tenue glaciale. Les autres s'abstiendront, de peur de prendre une dizaine d'années en moins de temps qu'il n'en faut pour se glisser dans une paire de collants...

    En guise de conclusion, on retiendra les points suivants :

    * On évite les couleurs de collants trop flashy : Véronique et Davina ne seront jamais au top de la tendance

    * Si l'on choisi de miser sur la dentelle, on fait light sur le reste de la tenue

    * Les collants aux teintes sourdes et automnales sont parfaits pour se la jouer Leighton Meester dans les frimas de l'Upper East Side

    * Les modèles en plumetis sont ceux qui, de par leur subtilité, iront apparemment avec tout

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  • Qu’y a-t-il sous les jupes des filles ? En été c’est simple : pas grand chose. Mais dès que le temps commence à fraîchir, il faut choisir son camp. Alors, bas ou collants ?

    Les collants, c’est la solution la plus facile. La plus facile à trouver d’abord, puisqu’il y en a de basiques dans tous les supermarchés, et des fantaisies de toutes les couleurs et les matières possibles dans les grands magasins. La plus facile aussi parce qu’on y est habituées depuis l’enfance (ah les souvenirs des collants en laine qui grattent et qui descendent, comme c’est émouvant … ou pas). Et puis, c’est le meilleur allié de la minijupe !

    Oui, mais les collants compriment le ventre. Pour peu qu’on soit un peu ballonnée, c’est l’enfer. Ils descendent, et bonne chance pour les remonter discrètement. Ils ne sont pas si sexy que ça, malgré les minijupes : au contraire, ils sont asexués, moulent le corps mais l’enferment. C’est le vêtement préféré de Superman et de Robin des Bois : c’est eux, vos icônes de style ?

    Et si on portait plutôt des bas, dans ce cas ? Les bas, qu’ils soient ou non autofixants, c’est la solution la plus agréable. Ça ne fait pas mal au ventre, ça reste bien en place, c’est l’idéal pour les grandes qui ne trouvent jamais leur taille en collant. Quand l’un des deux bas file, on peut toujours garder l’autre, au lieu d’être obligée de tout jeter. Et surtout, c’est une arme secrète de séduction, qui évoque instantanément Rita Hayworth ou Dita von Teese. Surtout s'ils sont à couture...

    Oui, mais c’est plus difficile. Il faut savoir choisir un porte-jaretelles, et comment le porter, parce que sinon ça peut se révéler un instrument de torture. Il faut savoir choisir les bas : plutôt voile que mousse, plus couvrant mais qui se contracte et « rétrécit » sur la jambe. Il faut surtout réussir à en trouver ! Les grands magasins en proposent des modèles, souvent chers. Sinon, on doit aller fouiller sur Internet*. Et de toute façon, il y a beaucoup moins de choix de modèles. Il faut aussi réussir à assumer le côté « fatal » des bas, pas forcément évident si on est une adepte de la culotte en coton. Il faut penser à porter un jupon en hiver, sous peine de se geler les cuisses. Et puis, il faut renoncer aux minijupes…

    Et vous, bas ou collants ?

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