• Ah, l’angoisse du collant filé… elle frappe toutes les femmes… Pire, nous avons toutes connu au moins une fois le terrible événement. Or, véritable tue-l’amour, le collant filé peut à lui seul “flinguer” une jolie tenue…

    Comment ne plus craindre le collant filé?

    Pour mettre fin à la malédiction du collant filé

    Ne sortez jamais sans votre vernis

    C’est la recette miracle. Une goutte de vernis (transparent s’il-vous-plait) sur l’endroit du crime (là où le collant est filé) empêchera au trou de davantage s’agrandir… Ouf.

    Faites comme si vous n’aviez rien vu

    Vous l’avez compris, une fois que le mal est fait, il est impossible de le réparer (sauf à stopper l’hémorragie - cf étape 1)… Alors tout va se jouer dans l’attitude… Alors inutile de crier haut et fort dans la rue “Oh my god my collant is filé.”… ça ne le fera pas revenir. Survivez-lui en gardant un port de tête de princesse et la démarche chaloupante.

    Cherchez un endroit retranché

    Cette étape ne vaut que pour les demoiselles bien entretenues et qui soignent leur épilation. L’avantage, c’est que ni une ni deux, vous pouvez ôter le collant agonisant, le mettre à la poubelle… et exhiber vos jolies guiboles.

    Retournez-le

    Si ça vous gêne vraiment de voir que votre collant est juste filé sur le haut de votre cuisse, vous pouvez toujours vous cacher, l’enlever et le retourner… Le collant ne sera plus filé que derrière votre cuisse… Donc vous ne le verrez plus et les passants qui vous arrivent de face ne feront plus les grands yeux en vous regardant… (ce qui se passe dans votre dos, par contre, c’est une autre affaire.)

    Moralité : soyez prévoyante

    La moralité de toute cette histoire, jeunes fashionistas, c’est qu’il faut toujours que vous ayez un collant vierge dans votre sac. Ca vous évitera bien des misères et en un claquement de doigt, vous pourrez retrouver une apparence élégante.

    Astuces et avertissements

    Collants, oui, mais pas sans épilation

    Mettre des collants ne veut pas dire oublier l’épilation. N’enfilez pas de collant sans vous être au préalable épilée. Ca vous évitera bien des déconvenues…

    Pas de panique

    Quoi qu’il arrive, dites-vous bien que toutes les femmes connaissent un jour ce genre d’incident. Le tout c’est de savoir l’affronter. Ne laissez pas ce collant filé égratigner votre dignité.

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  • Les stylistes se sont passé le mot, cet hiver nous montrons nos mollets sous toutes les coutures ! Carreau, rayure, léopard ou dégradé arc en ciel, le collant est coordonné à notre tenue, et nous illumine de par ses mailles vitaminées.

    En bonne fifille à sa maman, notre choix de collant s’arrêtait jusqu’alors au transparent noir ou au transparent chair, un duo qui soit dit en passant, relève plus de la conformité que d’un choix bien assumé. Cet hiver, les podiums nous mitraillent de collants à tonalités prononcées, à motifs exubérants, que l’on coordonne, comme chez D&G, à une robe à carreaux ultra vintage.

    Prolongement de la tenue, le collant n’est désormais plus là pour camoufler nos gambettes jugées trop grasses, trop petites, ou trop blanches, mais bien pour les mettre en évidence, et en faire un accessoire fashion à souhait.

    Une tendance qui se confirme

    Ayant pointé leur nez dans les défilés de Nicolas Ghesquière (Balenciaga) et Matthew Williamson (Pucci) l’année passée, les collants fluo et rigolos sont devenus cet hiver des indispensables de la garde robe. De Chanel à DKNY en passant par Sonia Rykiel, pas une griffe ne loupe l’occasion de brandir des paires de mollets enrobées de lycra pétillant.

    Du collant sans fil

    Avis aux amatrices du destroy chic, Alexander Wang propose sa propre version du collant hivernal, avec, en guise de déco, des trous sur la cuisse. Pas de quoi tenir chaud, mais un exemple à reproduire facilement chez soi ! De plus, vous saurez aujourd’hui qu’il n’y a plus de quoi raser les murs lorsque vous filez votre collant...c’est même un chic ultime.

    Au fluo électro

    Enfin, pour celles qui n’apprécieraient pas les motifs, sachez que la tendance est également au flashy. Dolce & Gabbana n’hésite pas à associer un collant rose fluo sans pied à une veste de tailleur orange acidulé. Donna Karan préfère marier un ciré sexy à souhait à un collant juvénile, violet flashy. Alors entre la touche électro, et les total looks, rappelez vous que la meilleure façon d’adopter la tendance hivernale, est de vous référer à votre sens de l’humour ! Cet hiver, le collant déridera les tenues les plus strictes, et surtout, fera parler votre âme d’artiste.

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  • Qui ne se souvient pas de la fameuse boîte renfermant un collant roulé en boule ? Lancée comme un pavé dans la mode en 1968, elle revient à la charge en format XL et en Technicolor. Pa pa pa pa pa pa…

    Alors que l’on s’apprêtait à ressortir nos leggings passe-muraille pour le troisième hiver consécutif, voilà que déboulent huit paires de jambes bleues, vert menthe, rose indien, citron, violettes, rouge vif, et tout de même grises et noires. Merci Dim, qui renoue cet automne avec sa saga du collant et surtout celle de son packaging fétiche, le cube, agrandi pour l’occasion.

    L’histoire, finalement, n’a pas changé : mettre un peu de fun dans les garde-robes, oser la couleur, justement brandie comme un remède antimorosité sur les podiums cet hiver à coup d’orange, de rouge, de kaki ou de bleu électrique.

    Dans la foulée, Dim s’est associée au chausseur Minelli et a conçu les teintes de ses collants en fonction de celles des souliers de la marque. C’est malin comme tout, ça permet de jouer l’alternance dans un vestiaire de basiques sans se ruiner, bref, c’est un bon manifeste de mode comme on les aime.

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  • Le collant, c’est polluant. On sait que la fabrication d’1kg de fibre de collant nécessite 4 kilos d’équivalent pétrole. Les marques commencent enfin à réfléchir à des alternatives.

     

    Comme on ramène ses piles, ses batteries et autres téléphones portables usagés dans les collecteurs des grands magasins, on pourra bientôt rapporter nos vieux collants filés afin qu’ils soient recyclés et réintroduits en rayon.

    La Recherche & Développement de Dim est actuellement en train de travailler sur un projet de «collant zéro déchets» : le «Symbiose».

    Pour l’être avec la nature.

    Le but est de retravailler la fibre actuellement utilisée afin de pouvoir récupérer le produit et de refaire un fil qui aurait les mêmes qualités que l’original. Il est pour le moment impossible de reconstituer un collant à partir du modèle de base, et ce à cause des propriétés des matières utilisées (polyamide et élastane). La recherche tente donc de trouver une fibre qui soit quant à elle recyclable et réutilisable.

    Ce projet, dont les frais s’élèvent tout de même à 260 000 euros, est cofinancé par l’ADEME, l’agence de l’environnement. La commercialisation n’est en revanche pas prévue avant 3 ans. La marque affirme qu’il ne devrait pas être plus cher qu’un collant classique. Qui vivra verra.

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  • Sous l'impulsion de nombreux créateurs, les collants sont en passe de devenir un accessoire de mode à part entière. Ultra féminins ou warmy chic, ces derniers sont en effet de tous les looks, du néo parisien au preppy. Et si modèles opaques et transparents ont encore droit de cité sur les gambettes des citadines, seuls ceux faisant preuve d'un peu d'audace recevront l'aval des fashion gourous...

    Le dress code préconisé par Emmanuelle Alt dans le Vogue de juin/juillet - à savoir associer une paire de collants à ses looks printaniers - a beau ne pas avoir fait beaucoup d'émules parmi les modeuses, il en ira bien autrement à la rentrée. En effet, dès le mois de septembre, les collants devront devenir l'allié ultime de la silhouette afin de conférer à celle-ci un joli twist up-to-date. Dans l'univers de l'élasthanne tendance, on retiendra alors deux écoles, les semi-transparents fantaisie et les opaques texturés, au sein desquels il sera judicieux de piocher quelques modèles.

    Au travers de l'esprit boudoir du moment (remettant au goût du jour satin drapé et fine dentelle), les collants flirtent avec le thème de la lingerie, se faisant plus féminins et sophistiqués que jamais. Balenciaga ouvre le bal, avec ses bourgeoises chicissimes qui, en ayant soupé du futurisme, s'immergent dans une déferlante de pièces néo-classiques et ultra précieuses. Jetant leur dévolu sur de délicats collants en plumetis, elles confèrent à leurs atours hautement sophistiqués une touche de légèreté fragile des plus pertinentes.

    Parti pris plus marqué chez Christian Lacroix qui, osant les collants en dentelle, offre à ces derniers un rôle phare dans la composition de la silhouette. On retient que plus les collants sont glamour et graphiques, plus il faudra alléger le reste de la tenue afin de ne pas "vampiriser" celle-ci. On les mixera alors à des pièces sobres, masculines et racées, de manière à temporiser la sexyness inhérente à la dentelle.

    Attention cependant - sous prétexte que le collant fantaisie flotte dans l'air du temps - à ne pas shopper des modèles très Buren touch' (Erin Fetherston) ou surfant sur les réminiscences léopard. En effet, ceux-ci risquent fort de marginaliser le look de celles qui s'y adonneront.

    Les collants

    Plus faciles à vivre que leurs homologues en voile, les collants opaques jouent cette saison la carte de la cosyness racée. Et s'il est permis d'en porter des noirs intenses afin de pallier l'excès de couleurs de certaines tenues 80's ultra flashy, on préféra miser sur des modèles un rien moins conformistes.

    Dès lors, on apprécie la variation opérée par Karl Lagerfeld (Chanel) autour du collant blanc. Car si celui-ci est loin d'être évident à porter lorsqu'il se décline en élasthanne, il gagne quelques galons fashion lorsqu'il se voit tissé en laine duveteuse. On l'imagine alors fort bien réchauffer quelques-unes des mignardises russes imaginées par Antonio Marras ou remplacer les leggings au coeur des accumulations warmy signées Missoni.

    Frais, simples et joyful, les collants colorés de chez Marc By Marc Jacobs agrémentent quant à eux des looks hivernaux que la jeunesse new-yorkaise devrait adorer. Entre Gossip girl et inspirations sixties, ce genre de tenues est en effet appelé à être reproduit à l'infini, tant elles parviennent à allier pragmatisme et style.

    Plus conceptuels, les collants ton sur ton gris couvrant chastement le bas de la silhouette (Yves Saint Laurent) sont exclusivement réservés à celles qui sauront insuffler une aura sulfureuse à une tenue glaciale. Les autres s'abstiendront, de peur de prendre une dizaine d'années en moins de temps qu'il n'en faut pour se glisser dans une paire de collants...

    En guise de conclusion, on retiendra les points suivants :

    * On évite les couleurs de collants trop flashy : Véronique et Davina ne seront jamais au top de la tendance

    * Si l'on choisi de miser sur la dentelle, on fait light sur le reste de la tenue

    * Les collants aux teintes sourdes et automnales sont parfaits pour se la jouer Leighton Meester dans les frimas de l'Upper East Side

    * Les modèles en plumetis sont ceux qui, de par leur subtilité, iront apparemment avec tout

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  • Qu’y a-t-il sous les jupes des filles ? En été c’est simple : pas grand chose. Mais dès que le temps commence à fraîchir, il faut choisir son camp. Alors, bas ou collants ?

    Les collants, c’est la solution la plus facile. La plus facile à trouver d’abord, puisqu’il y en a de basiques dans tous les supermarchés, et des fantaisies de toutes les couleurs et les matières possibles dans les grands magasins. La plus facile aussi parce qu’on y est habituées depuis l’enfance (ah les souvenirs des collants en laine qui grattent et qui descendent, comme c’est émouvant … ou pas). Et puis, c’est le meilleur allié de la minijupe !

    Oui, mais les collants compriment le ventre. Pour peu qu’on soit un peu ballonnée, c’est l’enfer. Ils descendent, et bonne chance pour les remonter discrètement. Ils ne sont pas si sexy que ça, malgré les minijupes : au contraire, ils sont asexués, moulent le corps mais l’enferment. C’est le vêtement préféré de Superman et de Robin des Bois : c’est eux, vos icônes de style ?

    Et si on portait plutôt des bas, dans ce cas ? Les bas, qu’ils soient ou non autofixants, c’est la solution la plus agréable. Ça ne fait pas mal au ventre, ça reste bien en place, c’est l’idéal pour les grandes qui ne trouvent jamais leur taille en collant. Quand l’un des deux bas file, on peut toujours garder l’autre, au lieu d’être obligée de tout jeter. Et surtout, c’est une arme secrète de séduction, qui évoque instantanément Rita Hayworth ou Dita von Teese. Surtout s'ils sont à couture...

    Oui, mais c’est plus difficile. Il faut savoir choisir un porte-jaretelles, et comment le porter, parce que sinon ça peut se révéler un instrument de torture. Il faut savoir choisir les bas : plutôt voile que mousse, plus couvrant mais qui se contracte et « rétrécit » sur la jambe. Il faut surtout réussir à en trouver ! Les grands magasins en proposent des modèles, souvent chers. Sinon, on doit aller fouiller sur Internet*. Et de toute façon, il y a beaucoup moins de choix de modèles. Il faut aussi réussir à assumer le côté « fatal » des bas, pas forcément évident si on est une adepte de la culotte en coton. Il faut penser à porter un jupon en hiver, sous peine de se geler les cuisses. Et puis, il faut renoncer aux minijupes…

    Et vous, bas ou collants ?

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  • Anne-Marie Degas et Michelle Denis sont parvenues à pérenniser l'activité de la bonneterie Fourment grâce à la lingerie fine spécialisée

    Anne-Marie Degas et Michelle Denis, héritières de l'usine et du savoir-faire de la famille Fourment d'Ossey-les-Trois-Maisons, ont toujours tricoté des chaussettes et des bas traditionnels. Les doigts de fée ont repris l'affaire il y a dix ans maintenant, et en font d'ailleurs toujours commerce sur place, au 19 rue Linard-Hubert, à Ossey-les-Trois Maisons.

    Mais ce débouché n'étant pas suffisant, la lingerie fine spécialisée et quelques marchés de niche leur ont permis de faire perdurer leur activité. Entre les murs de cette usine créée en 1930, elles confectionnent, par exemple, sur commande, des collants en taille 7 pour habiller des jambes de 1,30 m ! Ou encore, dans un tout autre domaine, les deux associées tricotent également des filtres de piscine.

    Collants à destination fétichiste

    On leur demande aussi du sur-mesure, comme ces collants pour hommes à destination fétichiste. « Cela m'est égal, tant que nous avons du travail, peu importe l'utilisation… », commente Anne-Marie Degas, « Nos clients parisiens nous demandent des articles qui nécessitent une mise au point technique très pointue, mais c'est aussi ce qui est intéressant : parvenir à les satisfaire ! Les commandes se font souvent avec un

    décalage de six mois, il faut anticiper les saisons. » La réactivité est certainement le principal atout de ces deux associées.

    Elles travaillent de façon tout à fait traditionnelle. En effet, les multiples métiers dont elles ont hérité du grand-père Fourment leur permettent d'effectuer un grand nombre de tâches différentes. Anne-Marie Degas et Michelle Denis travaillent la matière première en blanc. Les teintures et la mise en forme sont faites à l'extérieur.

    À noter qu'il est tout à fait possible de leur rendre visite. La porte de leur usine est toujours ouverte pour accueillir les visiteurs qui trouveront, par la même occasion, des chaussettes de travail, de sport ou collants vendus au détail.

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  • La marque Dim, déjà reine des collants en tout genre, innove et cherche à créer... un collant écolo !

    Les amatrices de jupes et de robes le savent bien : les collants se filent très facilement et deviennent alors inutilisables. Il ne reste plus qu'à les jeter et à réinvestir dans une nouvelle paire.

    Dim travaillerait donc sur un collant recyclable. L'idée est simple : plutôt que de voir la vieille paire filée finir dans une poubelle, puis détruite, pourquoi ne pas la récupérer pour créer de nouveaux collants ?

    Si l'idée semble ingénieuse, elle est encore irréalisable. Les matières utilisées pour fabriquer les collants ne peuvent pas être recyclés. Il faut donc trouver de nouvelles matières capables d'être retransformées.

    De plus, des collants recyclables permettraient de moins gaspiller les ressources de la planète. Pour 1 kg de collants, 4 kg d'équivalent-pétrole sont nécessaires.

    Seulement, il faudra attendre au moins trois ans avant de pouvoir exhiber des « jambes écologiques ».

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  • Sous l'impulsion de nombreux créateurs, les collants sont en passe de devenir un accessoire de mode à part entière. Ultra féminins ou warmy chic, ces derniers sont en effet de tous les looks, du néo parisien au preppy. Et si modèles opaques et transparents ont encore droit de cité sur les gambettes des citadines, seuls ceux faisant preuve d'un peu d'audace recevront l'aval des fashion gourous...

    Le dress code préconisé par Emmanuelle Alt dans le Vogue de juin/juillet - à savoir associer une paire de collants à ses looks printaniers - a beau ne pas avoir fait beaucoup d'émules parmi les modeuses, il en ira bien autrement à la rentrée. En effet, dès le mois de septembre, les collants devront devenir l'allié ultime de la silhouette afin de conférer à celle-ci un joli twist up-to-date. Dans l'univers de l'élasthanne tendance, on retiendra alors deux écoles, les semi-transparents fantaisie et les opaques texturés, au sein desquels il sera judicieux de piocher quelques modèles.

    Au travers de l'esprit boudoir du moment (remettant au goût du jour satin drapé et fine dentelle), les collants flirtent avec le thème de la lingerie, se faisant plus féminins et sophistiqués que jamais. Balenciaga ouvre le bal, avec ses bourgeoises chicissimes qui, en ayant soupé du futurisme, s'immergent dans une déferlante de pièces néo-classiques et ultra précieuses. Jetant leur dévolu sur de délicats collants en plumetis, elles confèrent à leurs atours hautement sophistiqués une touche de légèreté fragile des plus pertinentes.

    Parti pris plus marqué chez Christian Lacroix qui, osant les collants en dentelle, offre à ces derniers un rôle phare dans la composition de la silhouette. On retient que plus les collants sont glamour et graphiques, plus il faudra alléger le reste de la tenue afin de ne pas "vampiriser" celle-ci. On les mixera alors à des pièces sobres, masculines et racées, de manière à temporiser la sexyness inhérente à la dentelle.

    Attention cependant - sous prétexte que le collant fantaisie flotte dans l'air du temps - à ne pas shopper des modèles très Buren touch' (Erin Fetherston) ou surfant sur les réminiscences léopard. En effet, ceux-ci risquent fort de marginaliser le look de celles qui s'y adonneront.

    Plus faciles à vivre que leurs homologues en voile, les collants opaques jouent cette saison la carte de la cosyness racée. Et s'il est permis d'en porter des noirs intenses afin de pallier l'excès de couleurs de certaines tenues 80's ultra flashy, on préféra miser sur des modèles un rien moins conformistes.

    Dès lors, on apprécie la variation opérée par Karl Lagerfeld (Chanel) autour du collant blanc. Car si celui-ci est loin d'être évident à porter lorsqu'il se décline en élasthanne, il gagne quelques galons fashion lorsqu'il se voit tissé en laine duveteuse. On l'imagine alors fort bien réchauffer quelques-unes des mignardises russes imaginées par Antonio Marras ou remplacer les leggings au coeur des accumulations warmy signées Missoni.

    Frais, simples et joyful, les collants colorés de chez Marc By Marc Jacobs agrémentent quant à eux des looks hivernaux que la jeunesse new-yorkaise devrait adorer. Entre Gossip girl et inspirations sixties, ce genre de tenues est en effet appelé à être reproduit à l'infini, tant elles parviennent à allier pragmatisme et style.

    Plus conceptuels, les collants ton sur ton gris couvrant chastement le bas de la silhouette (Yves Saint Laurent) sont exclusivement réservés à celles qui sauront insuffler une aura sulfureuse à une tenue glaciale. Les autres s'abstiendront, de peur de prendre une dizaine d'années en moins de temps qu'il n'en faut pour se glisser dans une paire de collants...

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  • La saison de l’hiver 2009-2010 se démarquera des précédentes en oubliant les gris et les noirs au profit d’une vague très colorée. Manteaux, pulls, robes… la joie de vivre est revenue dans nos armoires et s’étend à tous les accessoires. La preuve, avec le collant qui ose cette année les teintes vitaminées ! Une tendance joyeuse qu’il faut tout de même savoir maîtriser.

    Cette saison, notre garde-robe prend des allures d’arc-en-ciel. Et ce ne sont pas nos gambettes qui vont s’en plaindre. Avec cette avalanche de couleurs, elles font le plein de pep !

    Des couleurs et des imprimés différents selon la morphologie

    Vous avez le corps parfait, vous êtes grande et mince ? Vous avez donc le choix des collants. Monochromes, imprimés, rayures : ceci n’aura aucun effet négatif sur vous. De même pour la matière, l’épaisseur d’un collant en laine ne vous gênera pas. Chanceuse comme vous êtes, vous pouvez même vous permettre le collant à effet brillant qui vous servira de legging sous une blouse ou un gros pull.

    Si c’est de la hauteur qui vous manque, n’ayez pas peur des collants aux couleurs unies, elles ne vous feront aucun mal. Les collants de couleurs avec des rayures horizontales sont par contre à bannir car elles vous rétréciraient. A l’inverse, si vous souhaitez paraître plus grande, les rayures verticales seront vos meilleures amies.

    Vous êtes plutôt ronde, petite et marquée au niveau des cuisses ? Pas de panique, oubliez simplement les imprimés et les effets rayés et osez la couleur ! Sans aller vers les jaunes et les rouges flashy qui risqueraient de trop vous faire remarquer, le charme d’un bleu ou d’un vert profond porté sous une robe saura vous mettre en valeur. Par contre, le collant en laine est à exclure définitivement de votre garde robe.

    Si vous êtes grande mais avec des cuisses un peu fortes, jouez sur votre taille en l’accentuant avec un collant rayé à la verticale. Non seulement il vous donnera de la hauteur mais en plus il aura un effet amincissant. Tout le reste est possible : sous une robe, une jupe ou encore un long pull, les collants de couleur vous iront à ravir et rehausseront vos tenues basiques et monochromes un peu trop sombres.

    Collants : des couleurs oui, mais avec modération !

    Petite, grande, mince, plantureuse…quelles que soient votre taille et votre corpulence, le collant de couleur est un accessoire qu’il faut savoir manier avec justesse.

    Parfait pour donner de l’éclat aux vêtements un peu ternes, le collant de couleur doit être un plus pour votre tenue et non devenir votre tenue elle-même. Par exemple, une robe rouge portée avec un collant bleu risquerait de créer un choc des couleurs qui ne serait absolument pas adapté.

    La meilleure chose à faire est donc de porter un collant de couleur chaude avec un vêtement de couleur froide et inversement. Ainsi, on portera une robe rose avec un collant bleu marine et une robe rouge avec un collant blanc. Le choix du ton sur ton est bien entendu tout à fait possible.

    Pour les rayures il existe également des astuces. Si un collant est rayé, la tenue doit être unifiée. En effet, si vous mettez des rayures horizontales sur l’ensemble de votre look, c’est l’effet bagne assuré. On porte donc des rayures horizontales ou verticales de la taille que l’on souhaite à partir du moment où la tenue est unie. Dernière astuce : si une des couleurs des rayures rappelle celle de la tenue, c’est encore plus chic !

    Le choix des matières a un rapport direct avec votre morphologie. Si les plantureuses auront tout intérêt à éviter le collant en laine qui les "élargirait", les femmes sveltes pourront oser les collants flashy et brillants à la Véronique et Davina.

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