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Par madmartigan dans On discute collant le 13 Février 2021 à 14:39
À Autun, la célèbre marque de lingerie Dim cherche un repreneur
Le géant américain Hanes souhaite se séparer de Dim. Les salariés de l’entreprise installée à Autun, en Saône-et-Loire, sont inquiets.
Coup dur pour les salariés de Dim à Autun, en Saône-et-Loire. Le géant américain Hanes (Playtex, Wonderbra), actuel propriétaire de la célèbre marque de lingerie, envisage de se séparer de sa filiale européenne. Créée en 1956 sous le nom "Bas Dimanche", Dim était à l’origine une petite société fabriquant des bas à petits prix, et se revendiquait première marque de sous-vêtements française. En 2014, elle était vendue à Hanes et perdait dans le même temps 265 emplois.
Des salariés et des syndicats inquiets
Aujourd’hui, les employés et les délégués syndicaux s’inquiètent à nouveau pour l’avenir. En cette période de pandémie et de contexte mondial peu favorable, de nombreuses questions restent sans réponse : qui va être le repreneur ? Dans quelles conditions la marque va-t-elle être rachetée ? Cyril Raguin, le directeur technique de Hanes se veut rassurant. "On a plus que jamais confiance en notre capacité à attirer les investisseurs. Nos marques sont des marques leaders", déclare-t-il. Pour lui, ni Dim, ni ses collaborateurs ne sont "remis en question". L’opération devrait prendre entre 9 et 18 mois. La municipalité d'Autun assure qu'elle suivra attentivement le dossier.
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Par madmartigan dans On discute collant le 23 Janvier 2021 à 15:06
Une page se tourne en Saône-et-Loire. Les derniers vestiges de l'entreprise Gerbe, à Saint-Vallier, ont été vendus aux enchères mercredi 20 janvier. Outre les fameux collants, les machines ont aussi trouvé des repreneurs.
C'est un pan tout entier de l'industrie textile qui disparait à Saint-Vallier, en Saône-et-Loire. Le patrimoine de l'entreprise de collants Gerbe vient d'être vendu aux enchères mercredi 20 janvier.
Créé au début du XXe siècle, Gerbe a pourtant traversé les époques grâce à l'excellence de son savoir-faire. Les dirigeants de l'entreprise étaient même reçus à l'Elysée l'an dernier. Gerbe faisait partie des fleurons industriels français mis à l'honneur par le président de la République.
Après avoir atteint ces sommets, la chute est vertigineuse pour Gerbe. En septembre dernier, l'entreprise est liquidée. Face au commissaire-priseur mercredi, ils sont une quarantaine à assister à la vente aux enchères de ce qu'il reste dans l'usine.
Les équipements vendus pour 60 000 euros
En trois minutes, l'affaire est réglée. Un revendeur de matériel professionnel rachète tous les équipements de l'usine pour 60 000 euros. Un entrepreneur des Cévennes se console avec le stock de 80 000 collants restants acheté pour 8 000 euros.
Il espère tout de même racheter les machines qui lui sont passées sous le nez. "Je vais me mettre en rapport avec le monsieur qui a acheté la totalité du matériel pour acheter tout un tas de machines et remonter un tricotage made in France", indique Patrice Bazin, grossiste en textile.
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Par madmartigan dans Miss Gambettes le 21 Décembre 2020 à 11:04
Résultat des élections parmi les 60 votants
JENY SMITH
élue Miss gambettes 2020
51,7% des votes1ere dauphine
ARIADNA MAJEWSKA
20% des votes2eme dauphine
MARIA
6.7% des votes
Autres concurrentes
Queen Sanya : 5% des votes
Diane de Glamissima : 5% des votes
Cassie Clarke : 5% des votes
Ali de Lesslavish : 5% des votes
Vanessa Pur : 1.7% des votesaucun commentaire
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Par madmartigan dans On discute collant le 19 Décembre 2020 à 16:01
Voici les collants qui ne filent pas ! Recyclés et écologiques ils sont parfaits pour un hiver au chaud
Cette paire de collants fabriquée à partir de matières recyclées ne file pas. Terminés les déchets ! Nos gambettes entrent dans une nouvelle ère, celle des collants durables et écologiques.
Révolution dans le monde de la mode ! Chaque hiver (et tout au long de l’année) c’est la même histoire : il suffit d’un accroc pour voir notre collant filer. Nul autre choix que de consacrer un budget conséquent à cette pièce, afin d’avoir une paire « en vie » à disposition. Pourtant, ce phénomène n’est qu’une obsolescence programmée. En effet, dès leur apparition à la fin des années 30, les bas en nylon ne filent pas. Fidèles compagnons de nos gambettes, ils étaient alors robustes et infaillibles. Découverte par le chimiste Wallace Carothers, qui se suicide avant de l’avoir nommée, cette nouvelle fibre fait de l’œil à l’industrie. Son équipe de chimistes, à qui incombe la tache de le commercialiser, décide alors de baptiser ce nouveau tissu suivant un acronyme formé des initiales des prénoms de leurs épouses : Nancy, Yvonne, Louella, Olivia et Nina = NYLON.
Des collants durables et écologiques
« Dans une publicité pour les collants datant des années 1950, on tracte même une voiture en la reliant à une autre grâce à une paire de collants solidement nouée » rappelle La Voix Du Nord. C’est dans les années 60 que l’industrie a la « merveilleuse » idée de concevoir des collants flanqués d’une durée de vie réduite… Histoire de nous pousser à une consommation perpétuelle.
Selon une enquête menée par L'association Halte à l'Obsolescence Programmée (HOP), 104 millions de paires de collants sont jetées chaque année. Un chiffre vertigineux, qui, mis bout à bout, représente la hauteur de la Tour Eiffel. « Dans 72% des cas, les collants ne dépassent pas 6 utilisations, voire seulement 3 utilisations pour plus de 40% » précise l’enquête.
C’était sans compter une petite révolution : l’apparition des collants REV.Conçus en fil polyamide recyclé à partir de déchets textiles, ces collants sont durables, écologiques, de haute qualité et surtout… Ils ne filent pas. Autre particularité, en cas d’accroc ils peuvent être recousus. Par ailleurs, le design se veut confortable, il est donc dépourvu de couture à l’entrejambe. Fondée par Aurore Jacques et Laëtitia Paput, deux jeunes femmes ayant fait leurs armes dans l’univers du luxe, Rev Society bouleverse les codes.
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Par madmartigan dans On discute collant le 16 Décembre 2020 à 16:14
L’atelier Peyrache à nouveau sur les rangs avec un projet innovant
Envoyer le personnel licencié en formation, diversifier la fabrication (collants, bas et tailleurs), abandonner le site à Saint-Vallier pour installer l’usine proche de la RCEA et conserver la marque Gerbe, tel est le projet de Ludovic Gaudic, directeur général des Ateliers Peyrache. Explications.
Fin mai 2020, lorsque la manufacture Gerbe est placée en redressement judiciaire, la société auvergnate L’atelier Peyrache fait acte de candidature à la reprise du célèbre fabriquant de bas et collants à Saint-Vallier. Elle est en concurrence avec les chaussettes Kindy.
Or le 18 juin, le tribunal de commerce de Chalon-sur-Saône surprend tout le monde, retoque les projets Peyrache et Kindy et accorde sa confiance à l’actionnaire chinois, le groupe hôtelier chinois, Chogqing Tianci Hot Springa qui ainsi, revenait aux manettes de Gerbe qu’il venait de lâcher quelques semaines plus tôt. Un vrai faux départ puisque trois mois plus tard, ce 10 septembre, toujours le tribunal de commerce, plaçait directement Gerbe en liquidation judiciaire avec à la clé, le licenciement des 33 salariés. On ne fait plus dans la dentelle.
Du côté de L’atelier Peyrache, on gardait toujours un oeil attentif sur l’évolution de Gerbe. A l’annonce de la liquidation, le lendemain, la société auvergnate déposait une lettre d’intention et présentait pratiquement le même dossier qu’en mai. « Le dossier que j’ai déposé répond au projet initial mais différent » annonce Ludovic Gaudic, directeur général de la société L’atelier Peyrache situé à Saint-Didier-en-Velay.
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Par madmartigan dans Célébrités contemporaines le 16 Décembre 2020 à 13:06
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