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Par madmartigan dans On discute collant le 18 Mai 2009 à 18:58
Devenus très populaires dans les années 60 avec l’arrivée de la minijupe, les collants permettent de maintenir les jambes au chaud en mettant les jambes en valeur. Ils adoucissent leurs courbes. En mousse, en voile, en lycra ou en laine, on trouve des collants pour tous les goûts.
14 km de fil
Il faut en moyenne 14 km de fil pour fabriquer une paire de collants. Les collants peu onéreux sont généralement fabriqués en Asie, ceux de haute qualité en France, Allemagne ou Italie.
Pour mesurer le degré de résistance d’une paire de collants, il faut regarder le nombre de deniers. Le denier correspond au poids en gramme pour 9 km de fil. 20 deniers correspondent à 20 grammes pour 9 km de fil. Les collants vont de 8 à 100 deniers.
Collants chairs vs collants opaques
Les collants chairs sont pratiques au printemps, quand on veut montrer ses gambettes et que les chaleurs estivales ne sont pas encore au rendez-vous. Attention cependant, ces collants sont fins et s'éffilent facilement. Les collants opaques tiennent chaud et permettent d'oser les mini-jupes, les robes courtes et les shorts sans en dévoiler trop. Aure alternative, les collants en laine pour affronter les grands froids. Il faut mieux les éviter avec des tissus fins ou délicats, comme la soie.
Collants magiques
Face au succès du pantalon chez les femmes, les fabricants renouvellent leur offre en promettant une silhouette de rêve aux femmes : effet gainant, ventre plat, remonte fesses... sont autant d’astuces pour gommer leurs petits défauts. Hélas les modèles ne sont pas très glamour et ne se déclinent pas dans les teintes modernes funky.
Collants fantaisie
Passez du noir opaque au rouge carmin, ce n'est pas évident. Pour commencer doucement, choisissez un collant de couleur mat et opaque de bonne qualité. Il dynamise et modernise la plus sobre des tenues. Les collants fantaisie ( de couleur avec des motifs carreaux, british, fleurettes...) doivent prendre le pas sur la tenue. Il faut être très vigilante sur le choix des autres vêtements. Une tenue noire reste une valeur sure pour ne pas commettre de fashion faux-pas.
Les leggings
Ils n'ont pas encore dit leur dernier mot ! Ils sont encore présent, en coton ou en laine pour être sexy sans tomber malade. On va au delà du simple basic cependant, on les choisit avec des finitions mignonnes, comme des petits boutons aux chevilles. Avec des robes pulls ou tuniques, ils permettent d'adoucir les courbes de notre silhouette et de masquer les petits défauts.
Attention, fragile
Pour ne pas filer les collants, l'idéal est de les laver à la main. Su vous n'avez pas le temps ( ou pas envie !) isolez-les des autres vêtements dans un filet afin qu'ils ne soient pas mis en contact avec les fermetures éclairs des jean par exemple. Dans la vie de tous les jours, des collants opaques de 60 deniers seront forcément plus résistants que ceux de10 deniers. Et on fait rrès attention si on a des bottes zippées !
Les chaussures
Quand on porte des collants, il ne faut surtout pas négliger le choix des chaussures. Elles peaufinent l'effet des collants. Pour les mettre en valeur, on mise sur des escarpins. Et on applique la règle du balancier : avec des collants de couleur, on porte des chaussures de couleur sobre. Et inversement !
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Par madmartigan dans Culture du collant le 14 Mai 2009 à 19:51
Jambes de femmes
Auteur(s) Anca Visdei (Auteur)
Editeur(s) Favre
Date de parution : 07/12/2002Quatrième de couverture :
Les jambes des femmes font rêver les hommes depuis toujours, c'est la partie du corps qui suscite le plus de fantasmes et donc qui demande le plus d'attention.Elle a fait l'objet d'innombrables représentations, que ce soit dans le domaine de la publicité, de la mode ou encore de la sculpture. Cet album, en lui rendant un hommage général, touchera à tous les genres, historiques ou contemporains, artistiques ou commerciaux.
Ce beau livre, à la fois érudit et cultivé, léger et drôle, charmant et audacieux, retrace, en résumé, trois aspects de la jambe féminine :
l'image sublimée et éternelle qu'en donne l'art (peinture, littérature, cinéma ou danse)
l'image de consommation, dans les arts dits appliqués, dont le but n'est pas en premier lieu de passer à la postérité mais plutôt de créer un impact plus immédiat : érotisme, BD, stylisme, ou publicité
l'image dans la culture populaire, complétée par deux témoignages de proches de la jambe, un bas et une chaussure ! Ou comment parler de la jambe en imaginant de donner la parole à deux de ses accessoires les plus emblématiques.
Ce kaléidoscope à la fois innocent et provocateur est un puzzle, dont les pièces ont été glanées au hasard des émotions et des visions, perçues tout à tour dans les musées d'art ou dans la rue, au contact des statues ou des portraits les plus célèbres, comme des anonymes de la vie quotidienne.aucun commentaire
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Par madmartigan dans On discute collant le 14 Mai 2009 à 19:20
le premier collant « zéro déchets »
Bientôt mesdames, vous pourrez ramener votre collant filé ou abîmé en magasin. Non pas pour vous le faire rembourser mais afin qu’il soit recyclé. Tel de vulgaires piles usagées.
« Symbiose ». C’est le nom de ce nouveau collant bio sur lequel travaille Dim. « On est en train de balayer toutes les pistes permettant de récupérer le collant usagé et de retravailler sa fibre afin de refaire un fil ayant les mêmes qualités que l’original », précise un responsable du projet. Pour confectionner ce collant « zéro déchets », dont la mise en rayon ne se fera pas avant trois ans, Dim planche sur une fibre reconstituée que « l’on pourrait retravailler, ou alors qui servirait de nutriment biologique utilisable comme engrais ».
Aujourd’hui, un kilo de collants égale 4 kilos de pétrole. Autant de déchets non-biodégradable, autre piste envisagée chez le fabricant français : « On pourrait aussi créer un collant biodégradable comme certains vêtements déjà existants », détaille un partenaire du projet. Lequel, cofinancé par l’Ademe, l’Agence de l’environnement, coûte 260.000 euros. Le prix à payer pour des jambes vertes.
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Par madmartigan dans On discute collant le 3 Mai 2009 à 19:00
Confectionnés au départ à partir du polyamide ou nylon comme pour les bas, les collants se déclinèrent au fil des avancées technologiques sous des matériaux de plus en plus élaborés et particulièrement confortables, comme l'élasthanne, d'abord plus connu sous la marque « lycra » ou encore le tactel, la microfibre ou enfin la soie animale. Très appréciés dans le secteur de la mode en général, les collants accompagneront les prémices de la révolution sexuelle en Europe et en Occident en ayant permis le port massif de la minijupe.
Sur le plan technique, il faut savoir qu'il nécessite en moyenne près de 14 kilomètres de fils pour la confection d'une paire de collants. Par ailleurs, un système d'échelle de valeur a été mis au point par les professionnels du collant pour évaluer arithmétiquement la finesse des bas. C'est le deniers. Classés sur une échelle de 8 à 100 deniers, il faut retenir que les collants les plus fins sont ceux dont les deniers sont les plus petits. Aujourd'hui, outre le secteur de la mode, les collants connaissent un succès dans divers autres domaines comme celui de la médecine où ce vêtement est utilisé par les professionnels du monde médical pour soulager diverses pathologies du type jambes lourdes. Le collant est également employé chez les professionnels du sports à diverses finalités. Il peut ainsi servir à masser les muscles ou à maintenir la température ambiante...
Enfin, malgré le fait que cet effet vestimentaire soit largement associé au fétichisme et à la séduction au féminin, il n'en demeure pas moins qu'aujourd'hui, comme par le passé, il existe des collants pour homme qui connaissent énormément du succès, notamment dans les pays asiatiques comme le Japon où son port n'évoque aucun préjugé particulier en rapport avec la sexualité comme c'est malheureusement le cas en Occident. Là-bas, le collant est un vêtement particulièrement utile, notamment en hiver. Il se laisse porter sans complexe en public. Notons enfin que pour se protéger des nuées de puces de sable infestant le désert irakien, les GI's américains eux-aussi se sont mis au collant !
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Par madmartigan dans On discute collant le 27 Avril 2009 à 18:56
Dans mes recherches à vous trouver des infos et des trucs insolites j’apprend une nouvelle forme d’agression, il s’agit du Panty Pulling de "pantî"en japonais qui signifie "culotte" abreviation de "pantî sutokingu" (les collants) et de « pulling » (tirer) soit Tirer sur la culotte (ou les collants). Cette pratique viendrait tout droit du Japon elle sévit déjà sur la côte ouest des Etats Unis, La Grande-Bretagne plaque tournante va surement l'adopter très vite et finir, comme toute les idées foireuses et débiles, atterir chez une bande de crétin de France et vont se délecter à la propager dans tout l'hexagone...Mesdames assurez vos arrières.
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Par madmartigan dans On discute collant le 23 Avril 2009 à 19:13
Je ne pouvais pas résister en voyant des collants quand je les ai vus dans le magasin. Ils sont enrichis avec de l'acide aminé et la vitamine C. Le soir venu j'ai glissé ces collants le long de mes jambes pour aller dîner en ville. Est-ce que je me sens super active ? non, cependant les boissons que j'ai bu pendant le dîner ont pas fait de degat pour ma tête. Peut-être la vitamine C, l'acide aminé est un catalyseur d'alcool.
Je me suis demandé si ces collants spéciaux me donneraient une super-acitvité, mais mes jambes semblent être sans changements. Le paquet prouve que vous pouvez les laver et les vitamines restent sur le collant parce qu'elles sont « pro vitamines». Il y a plusieurs gammes de collants certains sont enrichis avec les vitamines spécifiques, d'autres prétendent vous donner la relaxation ou de la performance ou encore la capacité d'obtenir des jambes sans fatigue après une journée difficile au travail. Tous les employés de bureau féminins sont visés. Je me demande si nous verrons bientôt un produit équivalent pour les hommes ? Peut-être un slips kangourou à la vitamine C.
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Par madmartigan dans On discute collant le 8 Avril 2009 à 18:55
Ce produit pourrait être commercialisé d'ici trois ans imaginé par Dim à Autun
Faire du collant une matière biodégradable ou recyclable : c'est le nouveau projet actuellement en cours dans les laboratoires de Dim à Autun.
Créer un collant « écolo » : il suffisait d'y penser et la tendance actuelle de la mode bio fait fureur. Dim s'est emparé de l'idée. La célèbre marque de bas et collants travaille en effet depuis un an sur un projet de collant « écoconçu », entendez par là un produit dont les matières premières seraient naturelles et qui pourrait ensuite être biodégradable ou recyclable.
Tout se transforme;
Ce projet s'inspire du concept « cradle to cradle » - du berceau au berceau en anglais -, imaginé par l'architecte américain William Mc Donough et le chimiste allemand Michael Braungar, spécialiste du cycle de vie des produits. « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » : le concept défend l'idée d'une consommation intelligente, fondée sur la réutilisation permanente des matières et des objets.
Pour lancer le projet de collant écoconçu, l'entreprise autunoise Dim a obtenu le soutien de l'ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) à hauteur de 50 % pour un budget de 260 000 euros. « Nous avons lancé les recherches dans nos laboratoires il y a un an, explique François Lecointe, directeur de projet chez Dim. Dans un premier temps, nous avons fait le bilan des composants d'un collant, dans l'optique de les réutiliser. »
Le collant Dim classique est fabriqué avec du polyamide 6.6 (plastique dérivé du pétrole) et de l'élasthanne, des matières premières non recyclables.
Pour produire un collant sans emballage, il faut l'équilvalent de 10 kilos de pétrole, en comptant le transport, l'énergie nécessaire au fonctionnement des machines, etc...
« Actuellement, nous sommes à la recherche de fils et matériaux pour l'emballage qui pourraient être biodégradables ou recyclables, sans perdre en qualité », ajoute François Lecointe.
Toutes les matières premières qui se prêtent au recyclage sont passées en revue, notamment l'aluminium. « Nous sélectionnerons ensuite les pistes les plus réalistes. Peut-être devra-t-on adapter nos techniques actuelles de production, changer certaines machines, » confie le directeur du projet.
Une démarche écoresponsable;
Deux solutions sont envisagées pour l'avenir de ce collant : soit il sera biodégradable et une fois le produit usagé, la cliente pourra le jeter au compost ; soit il sera recyclable et dans ce cas, Dim envisage d'organiser un système de récupération du produit pour le décomposer et le refabriquer à partir des matières premières existantes.
Le challenge pour Dim est de fabriquer un collant qui ait les mêmes propriétés que celui vendu actuellement en magasin : « il faut qu'il soit aussi confortable et élégant que maintenant, mais composé de matériaux différents », souligne François Lecointe. Si le projet est mené à bien, ce collant écoconçu devrait être commercialisé d'ici trois ans.
Et le prix dans tout ça ?;
C'est également un élément déterminant dans ce projet : « il ne faudrait pas qu'il soit excessivement cher, mais au stade actuel de nos recherches, il est impossible d'avancer une fourchette de prix », confie François Lecointe. L'enjeu est évidemment de limiter les coûts de ce futur produit et de sensibiliser la cliente à la démarche écoresponsable qu'entend jouer demain l'industriel Dim.
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Par madmartigan dans On discute collant le 6 Avril 2009 à 19:10
L’industrie japonaise du collant connaît une grave crise. Ventes en perte de vitesse, désaffection généralisée de la part des gambettes nipponnes. A ce rythme là, il n’y aura plus que les cambrioleurs à utiliser des bas… comme masque bien entendu. Heureusement, deux top-modèles japonais ont décidé de sauver le collant. La fédération japonaise des fabricants de chaussettes et de bas vient de tirer la sonnette d’alarme. Il y a dix ans, c’étaient 700 millions de paires de collants qui sortaient, chaque année, des usines nipponnes. En 2005, les producteurs locaux n’ont tissé que 200 millions de paires. 2006 devrait confirmer cette baisse de 70% en une décennie. De la même manière, 1989, année de tous les records pour l’industrie, cette année-là, les petits bouts de nylon avaient représenté un marché de plus d’un milliard de yen ( 10 millions d’euros), pour ne plus être qu’un cinquième quinze ans plus tard.
Enfin, les producteurs japonais, qui étaient il y a peu encore plus d’une cinquantaine, ne sont plus que vingt à officier. La faute à qui ? Bien entendu, les importations massives venues de Chine ont fortement touché la production nippone, mais pas seulement. Les professionnels du secteurs avancent une autre raison : la mode. Depuis le début des années 90, les collégiennes et les lycéennes ont pris l’habitude de ne jamais porter de collants. Elles portent souvent de longues chaussettes (Loose-sock). Devenues adultes, elles conservent cette habitude d'aller jambes nues, sonnant le glas des collants.
Dans leur esprit, le collant est définitivement associé à leur mère ou à de vielles secrétaires. Autre facteur de mode, les pantalons tailles basses. Leur tendance à dévoiler nombrils et bas du dos n’incitent pas à porter des collants. Aucune des ces jeunes filles n’a envie de paraître sexy jusqu'à ce que s’affiche le gros élastique de ceinture typique des collants. Et un professionnel de déplorer que « cacher leur jambes est une chose qui ne les effleure même pas ! ». Mais les mentalités pourraient bientôt changer. Au mois de décembre dernier, deux starlettes, Yuri Ebihara et Moe Oshikiri, grandes prescriptrices de mode, ont lancé leur propre marque de collant. Elégamment baptisé f*ing motesto, la ligne propose une palette de collants unis mais rehaussés de strass et de petits dessins dans l’air du temps. Le succès a été immédiat, tous les magasins se sont retrouvés en rupture de stock en un rien de temps. La nouvelle collection des deux comparses, prévue pour le mois de mars, est attendue avec impatience par des millions de guiboles japonaises. L’industrie du collant reporte donc tous ses espoirs sur ce retour en grâce du bas nylon, jusqu'au printemps au moins…
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