• Résultat des élections parmi les 177 votants


    ALINA (Art of gloss)
    élue Miss gambettes 2009

    30,03%
     des votes

    1ère Dauphine
    KRISTIN
    (Pantyhose-x.de)
    27,11% des votes
    2ème Dauphine
    DAWN DESIRE
    (Dawn desire)
    15,32% des vote

    Autres concurrentes

    Violet (Southern charm) 10,2% des votes
    Haylee (Ph Addict) 6,78% des votes
    Ronis (Ronispantyhos) 4,93% des votes
    Akira (PantyhoseLane) 3,24% des votes
    Thalia (Ph please) 2,39% des votes

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  • Well : les dessous d’une campagne plébiscitée par 66% des Français

    Cette année, Well s’est concentrée sur la presse magazine pour mettre en avant la résistance de ses collants opaques. Instantanément décodée, l’image glamoureuse de sublimes gambettes se frottant sans dommage à un porc épic, a fait mouche. Après Marion Cotillard et la pub Dior en septembre, Well est, en octobre, la publicité magazine préférée des Français. Une autre piste créative avait été explorée… free image hostCette campagne Well est la cinquième réalisée par Grey Paris, et la deuxième qui utilise des animaux ; la marque ayant déjà promu, il y a deux ans, le lancement de mi-bas avec des koalas montant le long d’une paire de jambes. Une façon originale de faire une campagne sexy et glamoureuse sur des produits, qui comme le collant, n’ont pas la réputation de l’être. Et déjà, la campagne avait séduit, remportant notamment un Scorissimo chez Marie Claire, l’an passé. Moins de risque de confusion et de mauvaise attribution Cette année, le plan média se concentre sur la presse magazine, « car dès que l’on montre des jambes en affichage, les femmes pensent Dim », révèle Agnès Mourgues, chef de groupe chez Grey Paris. « Nous avons pensé que la presse féminine serait mieux adaptée au produit, car lorsqu’on lit ou qu’on feuillette son magazine, on lui accorde de l’attention et du temps et le risque de confusion et de mauvaise attribution est moins important. Nous avions aussi besoin de redonner de la modernité, « Le choix de la presse magazine nous permet de communiquer spécifiquement sur les femmes quand d’autres supports ont un public plus mixte, ajoute Stéphanie Courtois, directeur marketing textile Well . Il nous permet à la fois d’être proches de notre cible de femmes adultes de 30 ans et plus, et d’ancrer notre marque dans un univers de mode. » La campagne comprend 17 insertions réparties dans les différents types de féminins, dans les people et la presse santé. « Nous nous inscrivons à la fois dans les magazines lus par les femmes dans leur vie quotidienne et dans leur rapport à la mode, résume S. Courtois. Nous cherchons à être bien placés dans les rubriques qui parlent de beauté et de mode, car depuis 2 ans, avec les tendances du prêt-à-porter, les femmes recherchent des produits plus opaques pour pouvoir porter des tenues plus courtes».C’est en effet le collant opaque qui tire aujourd’hui le marché vers le haut. Le visuel que vous ne verrez pas Pour la campagne 2009, sur l’idée de l’animal, Grey Paris a proposé une autre piste. Le visuel montrait une femme, son chat sur les genoux, près d’une petite souris armée de cymbales. On comprend l’idée : la souris allait réveiller le chat, qui allait s’agripper au collant. A cette déclinaison un peu plus second degré, il a été préféré un visuel à la compréhension immédiate.

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  • Madeleine Berkhemer née à Bergen op Zoom (Pays-Bas) en 1973, vit et travaille à Rotterdam (Pays-Bas). Le corps, le fragment, le découpage, l’assemblage sont au cœur du travail de Madeleine Berkhemer quelles que soient les disciplines envisagées. L’artiste s’attache souvent aux jambes féminines gainées de collants, cet accessoire qui a désormais remplacé l’objet du fantasme numéro un chez les hommes : le porte-jarretelles. Que ce soit pour son défilé de fin d’études, ses photographies ou ses installations, le collant se fait matériau de création. Il peut devenir l’écrin raffiné d’un buste, d’une jambe ou d’objets hétéroclites, couvrir la peau ou au contraire envahir l’espace tel un fantasque mobile. Mais il renvoie toujours au corps comme lieu de passage. De l’interne à l’externe, du désir au dégoût, la frontière est mince et l’artiste se plaît à déjouer les attentes et à contraindre le regard. Ses œuvres provoquent souvent chez le spectateur une hésitation entre gêne et fascination. « Un art sans connotation sexuelle n’a pas de raison d’exister. Je travaille à partir de nombreux sujets qui m’intéressent, donc mes œuvres doivent taquiner, plaire et faire souffrir, et arriver aussi à ce que le spectateur se sente coupable ! » Madeleine Berkhemer utilise aujourd’hui le petit cube de la boîte de collant comme support pour ses dessins. Le thème de la jambe revient beaucoup : jambes dénudées, jambes démultipliées et évidemment jambes recouvertes de collants. C’est dans cet intervalle entre érotisme et voyeurisme, préciosité et trivialité que Madeleine Berkhemer nous convie dans l’exploration des obsessions contemporaines. 

    VOIR SON SITE INTERNET

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  • Le Lycra est une fibre élastique, inventée et fabriquée par Du Pont de Nemours, qui est utilisée en association avec tous les types de fibres (le Lycra n'étant jamais utilisé seul). La longueur initiale d'un fil peut être étirée jusqu'à 7 fois... la tension relâchée, il retrouve, instantanément, sa forme initiale. L'arrivée du Lycra dans les collants eut un impact comparable à celui du nylon qui fut le premier, à transformer l'univers des bas et des collants dans les années 40. Grâce à ses propriétés d'élasticité et de retour, le Lycra galbe les jambes et offre, à la fois, des sensations incomparables de confort et une impression de liberté de mouvements. Ses propriétés d'extensibilité et de force de retour donnent de la vie aux tissus, du drapé aux vêtements les plus divers et procurent une liberté exceptionnelle de confort. Dans les vêtements de sport, tout particulièrement, il apporte l'élasticité nécessaire qui va permettre de conserver leur forme et leur taille initiales. Les vêtements de sport, renfermant du Lycra, apportent de l'aisance dans l'accompagnement de tous les mouvements du sportif. Le Lycra évite aussi le pochage et contribue à une meilleure défroissabilité, notamment pour les articles en maille qui gardent longtemps leur forme et leur taille initiales. Les matières modernes et pratiques envahissent, non seulement, les vêtements pour adultes, mais aussi la garde-robe des enfants.

    Même si ses prémices remontent déjà à 30 ans, le Lyocel n'est encore qu'au début de son histoire et de ses applications, car il appartient à la nouvelle génération de fibre cellulosique, conçue par l'homme, qui entre dans la famille des fibres artificielles. Fabriqué dans le respect de l'environnement, le lyocell, fibre 100% cellulosique, est entièrement biodégradable. Sa production est écologique. Il possède les atouts d'une fibre naturelle et ceux d'une fibre artificielle sans avoir les inconvénients de l'une et de l'autre. La versatilité exceptionnelle de la fibre permet d'obtenir de nombreux touchers, selon les mélanges et les traitements. Qu'il soit utilisé pur ou en mélange, il offre aux tissus à la fois fluidité et plombant. Sa ténacité à sec est plus élevée que celles des autres fibres cellulosiques, et proche de celle du polyester. Il possède une grande résistance à l'usure, résiste aux lavages de 40° à 60°, demeure quasiment irrétrécissable et ne nécessite qu'un léger repassage. Par ailleurs, il offre une bonne stabilité de la couleur et une bonne réfraction à la lumière, ce qui permet d'obtenir une grande variété de nuances, des plus éclatantes aux plus adoucies.

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  • Il s'agit de porter des collants NOIRS sous le pantalon. Vous aurez au préalable copié, si vous le voulez sur la totalité de votre mollet, les réponses qui vous seront nécessaires. Lorsque vous avez un trou, levez le pantalon et matez à travers le collant. Si un prof vois quelque chose, il faudrait regarder de près pour voir votre gruge. Ca c'est encore plus spécifique aux filles : le jour de votre DS, mettez un haut avec des manche en collant, ou en résilles fines. Voilà!"

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  • Les Axonais invités se sont pressés pour assister à l’inauguration du nouveau siège social de Le  Bourget, à Fresnoy-le -Grand. Ce bâtiment de prestige est enfin le digne écrin d’une marque dont la renommée n’est plus à faire. Mais à entretenir, pour rester « au cœur de la mode », selon la formule de son directeur général, Thierry Simon.

    Au centre d’une région textile devenue moribonde, ce siège social symbolise « la redynamisation de la marque. En terme d’image, c’est notre navire amiral ». Centre névralgique, et magasin de la marque de collants, le nouveau siège social veut attirer à Fresnoy ses clients, des séminaires nationaux, et être « un vrai laboratoire de développement de produits ». Même si le site de Fresnoy n’assure plus que de la finition de produits, aujourd’hui fabriqués en Italie. Depuis la maison mère CSP, qui est cotée en bourse. Avec la partie logistique et le personnel administratif, Le Bourget emploie 140 personnes dans l’Aisne, sur un total de 300 personnes.

    L’effectif est resté stable, en dépit d’un tassement de l’activité à -8 % cette année. « Pas dramatique » veut relativiser Thierry Simon. D’autant que cette baisse est moins à mettre sur le dos de la crise, que d’un automne particulièrement doux. « Cette année, il a fait très beau jusque fin octobre. Les femmes ont voulu garder les jambes nues et montrer leur bronzage ». Il convient aussi de rappeler que les collants restent un produit de nécessité. « Nous réalisons 70 % de notre chiffre d’affaires de 35 millions sur le second semestre ».

    Au-delà de cet épisode climatique, Le Bourget va aborder l’année 2010 en mettant sur les rails plusieurs projets. « Nous allons lancer notre collection de sous-vêtements masculins dans la grande distribution. Les premiers produits seront dans les linéaires début janvier ». Slips, boxers, tee-shirts, débardeurs… Le Bourget a décidé d’investir ce créneau. Avec un logo spécifique « For a man ». « Il y a un réel potentiel de développement » assure le directeur. « Nous pouvons accroître notre chiffre d’affaires de +10 % assez aisément ».

    Autre nouveauté en 2010, la distribution par Le Bourget des collants de la marque italienne Max Mara. « Elle était jusqu’alors distribuée par une autre société sur une cinquantaine de points de vente en France. C’est un chiffre d’affaires de l’ordre de +3 % à +5 % ». Le Bourget s’apprête également à dévoiler une nouvelle entité visuelle. « Pour que nos collants soient identifiables comme un accessoire de mode, dans l’environnement du prêt-à-porter ». Thierry Simon parle « création de valeur ajoutée », et de « valeurs immatérielles » pour « tirer notre image vers le haut ». Une image qu’il positionne dans la catégorie des marques « premium » de qualité.

    Si les grandes surfaces occupent la moitié des circuits de distribution, les grands magasins et les boutiques spécialisées représentent 35 %, le reste étant composé des marques de distributeurs et de la part des exportations (10 %).

    L’an prochain, les investissements devraient marquer « une petite pause », après une année 2009 bien remplie : trois millions pour Le Bourget en France, dont 2,3 millions pour le nouveau siège social de Fresnoy, et 700 000 euros pour la revitalisation de bâtiments industriels.  " Les propriétaires italiens nous suivent ». Depuis dix ans déjà.

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